Partis, configuration, partisane, Michel Offerle, bourdieu, entreprise, electorale, sondage, militant
Michel Offerlé est professeur à l'École Normal supérieur de Paris (Ulm) et il est chercheur au centre Maurice Albwachs au sein du laboratoire consacré aux enquêtes de terrains et théories. Ses domaines de recherche sont la sociohistoire du politique et sur la sociologie des mobilisations et organisations politiques. Il fait partie du comité de rédaction de la revue Génèse qui est une revue fondée entre autres par l'historien Gérard Noriel (historien spécialiste de l'immigration en France). Après la lecture de son article, Michel Offerlé se place dans une tradition sociologique bourdieusienne, car il entend un parti politique comme une entreprise et non comme une organisation.
[...] Partis et configuration partisane - Michel Offerle Auteur : Michel Offerlé est professeur à l'École Normal supérieur de Paris (Ulm) et il est chercheur au centre Maurice Albwachs au sein du laboratoire consacré aux enquêtes de terrains et théories. Ses domaines de recherche sont la sociohistoire du politique et sur la sociologie des mobilisations et organisations politiques. Il fait partie du comité de rédaction de la revue Génèse qui est une revue fondée entre autres par l'historien Gérard Noriel (historien spécialiste de l'immigration en France). [...]
[...] Effectivement, il considère les courants au sein des partis comme des sous-entreprises et il souligne que l'affaiblissement du champs partisan est du à l'influence trop important du champs médiatique sur les partis car les dirigeants de partis accordent trop d'importance aux sondages seul représentation scientifique de l'opinion Cet parenté idéologique avec Pierre Bourdieu est évidente car il souligne que l'habitus partisan n'existe plus. Du fait,le travail partisan est déconsidérés. Il conclus sa contribution par une vision schumpeterienne de la configuration partisane et cet vision dit que l'électeur départagent les entreprises partisanes concurrentes sur le marchés électoral. [...]
[...] L'auteur se demande ensuite comment se construit un clivage politique. Pour répondre à cet question, il rappelle les trois critères définis par les politistes Larry Diamond et Richard Gunter pour approcher les partis et ces critères sont : la taille et sa fonction, sa tolérance et son pluralisme objectif partisan et ses engagements programmatiques. Michel Offerlé considère que la définition la plus satisfaisante d'un partis est la définition de Max Weber ce qui n'est pas sans lien a son approche sociologique bourdieusienne . [...]
[...] Il expose donc dans un premier temps les méthodes et les approches utilisés par les chercheurs pour analysés les structures partisanes. L'auteur souligne que l'approche typologique est importante car elle permet de mieux cerner les interactions entre les partis au sein de la configuration partisane. Cet approche est fondés par Maurice Duverger en 1951 qui a crées une première typologie et il distingue donc deux types de partis : le partis de masse et le partis de cadre et cette distinction est basés sur leurs nature de leurs organisation. [...]
[...] Limite : Je trouve cet contribution trop bourdieusienne c'est à dire qu'on voit clairement les préferences théoriques de l'auteur. J'aurais aimé une contribution plus nuancés qui nous permettent à construire notre propre cadre d'analyse des systèmes de partis. Je pense que pour nuancer cet contribution il faut donc se tourner vers d'autres politistes qui ont travaillés sur le même thême. Sa contribution est trop fonctionnaliste et trop rationaliste car il considère les partis comme des entreprises et les électeurs comme des êtres doués de raison. [...]
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