La fête est une pratique collective, une envie de contact avec le monde. En effet, l'ensemble des textes à étudier démontrent que la fête est un moyen de communication, un moment de délivrance collectif. Le texte de Jean Onimus, "L'asphyxie ou le cri", publié en 1971, celui de Pierre-Yves Badel "Une subversion simulée", extrait des "Nouvelles littéraires" de 1974 et celui de Jean-Jacques Rousseau, extrait de son roman "La nouvelle Héloïse" énoncent les joies de la communauté humaine et les changements que provoque la fête dans notre vie sociale. Par contre ceux de Claude Roy en 1969, qui écrit un article intitulé "La lettre de New York" tiré du célèbre magazine "Le Monde" et la campagne publicitaire du Club Méditerranéen complètent les notions de partage, de gaieté, de bonheur et de plaisir liées à la fête.
[...] Des moments de complicité s'installent alors et les mots deviennent inutiles pour se comprendre. Jean Ominus partage cette affirmation. Il évoque que lors des fêtes, lieux de rencontre, les personnes sont plus ouvertes aux autres, c'est un moment de joie enfantine où ils se délivrent des difficultés de la vie. Ces moments créent des instants de cohésion sociale et entraînent une vraie légitimité des comportements, comme le laisse entendre le Club Méditerranéen. Ainsi, d‘après Rousseau, pendant les vendanges, maîtres et ouvriers partagent tout : des temps de travail et des moments convivialité. [...]
[...] Le club méditerranéen ajoute que la fête est comme un moment de réalisation de ses envies, de ses plus grands rêves et désirs, de découvertes de nouvelles détentes qui confortent la réalisation de moments de fraternité. La fête aide les individus à se retrouver, à réaliser une rupture de la monotonie de leur vie. Cependant on peut lui trouver des aspects moins avantageux. Dans cette seconde partie, les auteurs du dossier étudié nous permettront de réunir les aspects péjoratifs de la fête. [...]
[...] Elles servent de défouloir (profaner les tombes). Il conteste les fêtes d'actualités comme la simple réalité Pour conclure, nous pouvons dire que la fête est source de joie et de cohésion sociale entre les individus. Elle permet d'apprécier les moments présents et de réaliser ses rêves. Cependant, si la fête est aussi un moyen de rompre la monotonie de la vie quotidienne, elle peut être aussi source de transgressions des lois. Jusqu'où iront les sociétés commerciales qui profitent de ces événements ? [...]
[...] Les influences de la fête sur la vie sociale - analyse thématique La fête est une pratique collective, une envie de contact avec le monde. En effet, l'ensemble des textes à étudier démontre que la fête est un moyen de communication, un moment de délivrance collectif. Le texte de Jean Onimus, l'asphyxie ou le cri, publié en 1971, celui de Pierre-Yves Badel une subversion simulée extrait des Nouvelles Littéraires de 1974 et celui de Jean-Jacques Rousseau, extrait de son roman La Nouvelle Héloïse énoncent les joies de la communauté humaine et les changements que provoque la fête dans notre vie sociale. [...]
[...] Nous verrons les conséquences de la fête, ses transgressions, ses interdits et les excès qu'elle entraîne. Jean Onimus est d'accord avec la réflexion de Pierre-Yves Badel, dans le sens où la fête est un moyen de contourner les lois et les principes de base de la société. En effet, l'ordre social peut être corrompu grâce aux déguisements lors des fêtes au Moyen-Age (fêtes Médiévales, Carnaval). L'auteur nous fait part d'une réflexion : il se demande comment l'Eglise toute puissante à cette époque peut tolérer ses excès païens . [...]
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