Dans son texte de "L'univers du reclus", Goffman nous introduit à la vie de personnes vivantes dans des institutions totalitaires. Il met en évidence les mauvais traitements que subissent les reclus dans celles-ci. En se servant de nombreux témoignages provenant de d'institutions totalitaires tels que l'armée, les couvents et les prisons, l'auteur explique le déroulement des patients admis dans des hôpitaux traitent les maladies mentales. En demeurant neutre tout au long de son texte, Erving Goffman énumère les traitements et les règlements infligés aux patients (...)
[...] Pour aider les reclus à bâtir leur nouvelle personnalité, les institutions totalitaires offrent des privilèges à ceux-ci. Ce système de récompenses est réservé aux reclus qui se soumettent aux membres du personnel de l'institution en question. Les reclus adultes, n'étant pas habitués à un système de punitions-récompenses se sentent diminué d'âge et se comparent donc à un enfant et parfois même rabaissés à un animal. Ce manque d'autonomie et cette injustice subie regroupe parfois des personnes victimes d'une même injustice. [...]
[...] L'univers du reclus Asiles : Études de la condition sociale des malades mentaux. Paris, Les Éditions de Minuits, p.55- 120 Introduction Dans son texte de l'univers du reclus, Goffman nous introduit à la vie de personnes vivantes dans des institutions totalitaires. Il met en évidence les mauvais traitements que subissent les reclus dans celles-ci. En se servant de nombreux témoignages provenant de d'institutions totalitaires tels que l'armée, les couvents et les prisons, l'auteur explique le déroulement des patients admis dans des hôpitaux traitent les maladies mentales. [...]
[...] Ce passage d'un extrême à l'autre, en plus du retour à leur vie et habitudes quotidiennes, tendent à faire oublier les choses appliquées en ce milieu de restrictions multiples exagérées. Toutefois, malgré le fait que les anciens reclus ne mettent plus en applications ce qu'ils auraient dus avoir appris en institutions totalitaire, ceux-ci n'y oublient pas leur séjour. Il faut se rajouter, qu'à leur sortie, les anciens reclus n'ont plus la même liberté qu'auparavant. Conclusion Mon point de vue par rapport à l'application de ces règlements retrouvés en milieu d'institution totalitaire est négatif. [...]
[...] Les témoignages fournis par Goffman dans son texte en est la preuve. Je trouve réellement que se sont là des gestes d'abus de pouvoir insensés. Je pense d'ailleurs que malgré son objectivité à l'écriture de ce texte sur L'univers des reclus Goffman n'est pas d'accord avec ces gestes cruels. Pour soutenir mon diagnostique sur Goffman, une preuve écrite se retrouve dans le choix de témoignages choisis par l'auteur à la compréhension du texte. Ces témoignages proviennent tous de personnes victimes d'abus de pouvoir. [...]
[...] Pour y parvenir, les institutions suivent des étapes de mortifications. Elles sont au nombre de six, soit : l'isolement, les cérémonies d'admission, le dépouillement, la dégradation de l'image de soi, la contamination physique et la contamination morale. La première se résume à séquestrer les reclus et de réussir à en obtenir un groupe homogène. Cette étape amène l'individu à la mort civile concept utilisé dans la perte irréversible de leur vie sociale avant l'admission dans une institution totalitaire. La deuxième étape consiste à remplir les formalité d'admission Celle-ci mène le reclus vers le vulgaire titre d'objet. [...]
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