Éloge de la mobilité - Jean Viard

Résumé du document

Ce livre a pour but de démontrer que notre société a connu des changements profonds depuis 1936.
Le « temps de croire » et le « temps de produire » sont terminés. C'est maintenant le « temps des relations ». La diminution du temps de travail et l'augmentation de l'espérance de vie nous on fait entrer dans une société de mobilité. La mobilité est le principe fondamental de notre société.
Jean VIARD a analysé de façon optimiste et pessimiste cette société paradoxale.
Il a souligné qu'elle avait des avantages et des inconvénients ce qui est normal pour une société. Elle a donné le droit à des mobilités choisies pour certains individus, aussi cela a permis une plus grande autonomisation des individus. Mais elle a aussi de gros inconvénients comme l'accentuation des inégalités sociales ou même dans certains cas un renfermement sur soi. Mais l'auteur nous dit qu'il faut penser en termes de mobilité raisonnée pour pouvoir relier démocratisation et réduction des nuances.
Enfin, son essai nous permet de comprendre les origines et les évolutions de la société dans laquelle nous vivons. Il finit en apportant des éléments qui pourraient s'avérer être des solutions aux problèmes de cette nouvelle société.

Extraits

[...] Une nouvelle culture du travail doit voir le jour. L'auteur dit que nous sommes entrés dans une nouvelle culture issue de civilisation du loisir dans laquelle la mobilité est devenue une valeur et un principe fondateur du fonctionnement de notre société et identité. Il termine en disant qu'il faut absolument que la société réorganise la lutte pour les libertés, la justice et la fraternité. MOTS CLES : “Travail” : élément essentiel tout au long de l'essai avec un caractère important dans les pratiques de la société. [...]

[...] Mais elle a aussi de gros inconvénients comme l'accentuation des inégalités sociales ou même dans certains cas un renfermement sur soi. Mais l'auteur nous dit qu'il faut penser en termes de mobilité raisonnée pour pouvoir relier démocratisation et réduction des nuances. Enfin, son essai nous permet de comprendre les origines et les évolutions de la société dans laquelle nous vivons. Il finit en apportant des éléments qui pourraient s'avérer être des solutions aux problèmes de cette nouvelle société. [...]

[...] La durée de travail est déterminée par les diplômes. On distingue 2 groupes : les gens non diplômés qui ont beaucoup de temps libre comblé par la télévision et les gens diplômés qui ont moins de temps libre, mais qui ont des loisirs multiples et différents. Malgré des avantages et des inconvénients, ce sont les salariés qui ont des capitaux culturels et financiers importants qui se sont le mieux adaptés. On peut distinguer 2 éléments importants dans notre société du “temps à : le fait que les 35 heures soient un acquis et le fait que les gens considèrent qu'ils vivent mieux et qu'ils sont libres de leurs choix. [...]

[...] Les Hommes sont de plus en plus joueurs. En effet, on remarque un développement et une augmentation des jeux d'argent et de hasard. Le temps libre des gens est aussi occupé par la vie associative. Pour l'auteur, sortir d'une opposition entre l'univers télévisuel et l'univers culturel et les réunir dans une pensée et une politique du temps libre devient une question de plus en plus d'actualité et de plus en plus importante. Depuis les années 1970, les départs en vacances sont de plus en plus nombreux nous fait remarquer l'auteur. [...]

[...] Mais le passage de l'école au monde du travail devient difficile. La scolarité a des conséquences en termes de stratégie résidentielle et de mobilité. On remarque une place sociale importante de l'école dans les relations intergénérationnelles et dans l'organisation des temporalités. Pour l'auteur, il faut remettre les choses à plat. Aujourd'hui, les gens passent de plus en plus de temps à se divertir, soit en allant au cinéma ou au théâtre, ou en visitant des lieux tels que des musées ou des lieux historiques. [...]