La Noblesse d’État, Bourdieur, The Power elite, Wright Mills, structures des grandes écoles, élite du pouvoir
Dans La Noblesse d'État, Pierre Bourdieu tente, à travers plusieurs décennies (des années 1950 aux années 1980) et à partir de divers documents (par exemple des enquêtes statistiques, des textes produits par des élèves, des anciens élèves et professeurs), d'analyse les classes préparatoires et les grandes écoles. La Noblesse d'État met en scène une recherche qui analyse l'État, le pouvoir de l'État et les agencements de pouvoir.
Afin de partager avec ses lecteurs sa perception de cet univers, il va présenter les structures des grandes écoles et de ses agents et comment ces structures influencent les monopoles. Durant toute son analyse, Bourdieu utilise, ou transcende, les enquêtes de Durkheim et de Max Weber, les analyses de Marcel Mauss sur les rites magiques de passation ou celles de Marc Bloch sur la chevalerie du Moyen Âge, parle de Lévi-Strauss et de Sartre afin d'enrichir son analyse, et avoir une base solide.
[...] Ils s'acceptent les uns les autres, contrairement avec les autres classes, se lient par les liens du mariage, tendent a travailler et penser les uns comme les autres. Ils ont des points en commun : origine sociale identique, etc. Even if their recruitment and formal training were more heterogeneous than they are, these men would still be of quite homogeneous social type. Ils se connaissent, Il ya un sentiment que ces autres sont un des nôtres Mills a realisé que les membres de la Power Elite ont tendance a travailler pour leurs intêrets mais ce n'est point parce que ces derniers sont juste corrompu. [...]
[...] Durant toute son analyse, Bourdieu utilise, ou transcende, les enquêtes de Durkheim et de Max Weber, les analyses de Marcel Mauss sur les rites magiques de passation ou celles de Marc Bloch sur la chevalerie du Moyen Âge, parle de Lévi-Strauss et de Sartre afin d'enrichir son analyse, et avoir une base solide. La théorie qu'étudie Bourdieu dans La Noblesse d'État analyse le lien effectif entre les grandes écoles et l'État. En effet selon le sociologue, les grandes écoles produisent les élèves destinés à arriver au pouvoir : ces dernières choisissent seules les élèves qui sont dotés des dispositions requises par leurs familles. Les familles plus dotées en capital culturel considèrent celle-ci comme une bien de famille les enfants sont héritiers. [...]
[...] Son analyse ne s'intéresse de manière univoque ni aux structures ni aux stratégies, mais aux stratégies rapportées aux conditions structurales dans lesquelles elles s'élaborent, c'est-à-dire aux rapports de force qui règlent les innombrables confrontations, toutes différentes, mais toutes également nécessaires étant donné les positions des différents agents sociaux. Le processus d'exclusion par les concours qui commence dès le lycée représente un danger, et menace la démocratie et la chance pour tous. Mais, il s'agit d'un phénomène universel et non seulement en France : on enregistre des évolutions similaires dans des pays dits soi-disant libéraux comme les États-Unis par exemple. Wright Mills, The Power Elite : Qui gouverne les États-Unis ? [...]
[...] En effet Ils prennent des positions dans les uns des autres domaines. Il ya un va et vient entre les membres de chaque organisation : lobbyistes, puis au gouvernement, puis dans la société. Obama en est l'exemple de ce va et vient. Mills expose la nature entrelacée de l'élite au pouvoir clairement (294) rien n'est caché à ce sujet, bien que ses activités ne sont pas rendues publiques. Comme une élite, elle n'est pas organisée, bien que ses membres connaissent souvent un autre . [...]
[...] Pierre Bourdieu, La noblesse d'État : Selon Bourdieu, il y a eu la naissance de réseaux dans les écoles, et l'État a développé une nouvelle classe d'État. Mills montre que c'est les forts qui arrivent au pouvoir et forment une élite. Les deux sociologues se retrouvent un peu dans l'idée où une certaine catégorie d'hommes accède au pouvoir. Aujourd'hui, dans le monde arabe, il y a une bourgeoisie qui exerce un certain autoritarisme sur la société : dans les Républiques comme dans les monarchies. Les élites dirigeantes développent des intérêts propres. [...]
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