Sciences humaines et arts, Jean-François Dortier, Jean-François Marmion, réflexivité, manies routinières, syndrome de Lazare
Ayant vécu plusieurs péripéties dans ma vie et n'ayant pas toujours su prendre les meilleurs décisions, j'ai donc trouvé pertinent pour mon cheminement personnel d'en savoir davantage sur le sujet qu'est la vie. Il me parut donc adapté de choisir les articles suivant : « La guerre contre soi », « Se reconstruire après un drame » et « Pourquoi est-il si difficile de changer ». Il ne me fut pas surprenant d'apprendre qu'un certain cycle de vie est entreprit puisque, comme chacun d'entre nous, une certaine routine ressort de mes décisions et actions. Les deux premiers articles ont une approche sociologique du côté réaliste de la vie puisqu'ils sont écrits par des Jean-François Dortier et Jean-François Marmion, sociologues du magazine Sciences Humains, tandis que le dernier est une réflexion sur les relations dysfonctionnelles fournissant à la fois une explication et des solutions aux problèmes identitaires, le tout étant fait par le psychologue Jean Cottraux.
[...] P.35 Terme emprunté de la sociologie : consiste dans « la capacité qu'ont les individus à l'autoanalyse, à réfléchir à leurs propres motivations, à tenter de contrôler le cours de leur vie en mettant en place des stratégies de changement et des techniques mentales d'autocontrôle. » - Jean-François Dortier Ici, le mot Sisyphe est utilisé pour définir un genre de travail qui se défait et qu'il faut sans cesse recommencer. Jean-François Dortier. P.37 Étudiée par le philosophe Jon Elster : « agir contre nous-mêmes ». Jean- François Dortier, P.37-38 Jean-François Marmion. P.45 Jean-François Marmion. P.45 Jean-François Marmion. P.46 Jean-François Marmion. P.46 Jean-François Marmion. [...]
[...] Que ce soit pour une raison à titre personnel ou sociétaire, la solution pointant vers un besoin de changement, le cheminement, en but d'une réhabilitation, ne sera pas simple. Identifier et comprendre ce qui est sujet à un changement pour par la suite trouver des solutions ne consistent pas en les parties les plus difficiles du processus de la réhabilitation. En fait, plusieurs personnes font face à un certain blocage lorsqu'il est le temps de passer à l'action. Cette étape peut souvent s'avérer être la plus longue : passer du rêve à l'action[1]. [...]
[...] P.38 Jean-François Dortier. [...]
[...] P.47 Jean Cottraux. P.48 Jean Cottraux. P.50 Jean Cottraux. P.51 Jean Cottraux. P.51 Jean Cottraux. P.48 Jean-François Marmion. P.44 Jean-François Marmion. P.47 Jean-François Marmion. P.47 Jean-François Dortier. P.37 Jean-François Dortier. [...]
[...] Chacun et chacune y auront un parcours différent. Toutefois, afin de remonter la pente le plus correctement que possible après avoir donné un sens au drame, il n'est pas important de s'attarder à trouver un responsable, mais plutôt « d'accepter le changement irréversible[9] ». La quête pour la justification peut être décevante et parfois sans succès. Une étude comprenant 52 Canadiens ayant été touchés par un même événement (soit le désastre minier de Westray en 1992) parvient à identifier trois profils d'endeuillés : « ceux qui sont dévastés », « ceux qui sont parvenus à se reconstruire » et « ceux qui ont résisté sans pour autant en tirer des enseignements du drame[10] ». [...]
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