En quoi la participation des résidents permet de contribuer à leur bien-être ?
[...] Aussi, les animations sont souvent à géométrie variable et varient en fonction des Foyers de Vie. Aussi, si chaque résident est invité à participer à ces animations et activités, force est de constater que cela n'est pas toujours possible car toutes les animations ne sont pas assez personnalisées pour que chaque résident puisse librement s'exprimer. Dès lors, les activités ne permettent pas toujours d'écouter la parole de chaque personne et ne prennent pas en compte les particularités de tous les résidents. [...]
[...] . Comment favorisez-vous la participation des usagers dans l'accompagnement proposé au quotidien ? . Pensez-vous qu'il faille impliquer davantage les usagers dans l'accompagnement proposé au quotidien ? Oui Nom Pourquoi ? . comment ? . [...]
[...] L'institutionnalisation des personnes ayant une déficience intellectuelle a commencé avec la création d'un nombre impressionnant d'institutions médico-sociaux spécialisées qui continuent à se développer surtout dans les pays développés. Les personnes ayant une déficience intellectuelle vivaient dans ces institutions en dehors de leur famille et de leur communauté, parfois toute leur vie. Cela les mettait à l'écart de la société pour l'entièreté de leur existence. Le handicap mental est la conséquence sociale d'une déficience intellectuelle. Socialement, cela crée indéniablement une mise à l'écart. Plus l'encadrement est faible, plus la mise à l'écart risque d'être forte. [...]
[...] » : « Le principe de compensation constitue une avancée majeure de la loi du 11 février 2005. Grâce à l'action des associations représentatives de personnes en situation de handicap, l'essentiel des conditions qui éloignait le droit à compensation d'un droit universel à l'image du droit au soin ont été supprimées, et notamment les barrières d'âge et l'essentiel des conditions de ressources. Il est intéressant de noter que la question de la compensation opère un rapprochement entre les deux concepts de citoyen et d'usager ». [...]
[...] Les évolutions juridiques ne peuvent que corroborer ces propos. Ces évolutions sont plus que nécessaires dans un contexte démographique où, dans les pays occidentaux, l'espérance de vie ne cesse d'augmenter au fil des décennies. De plus, les personnes qui intègrent les Foyers de Vie parviennent souvent à faire de réels progrès et à trouver leurs propres centres d'intérêt. Cela est d'autant plus vrai lorsque les activités sont suffisamment personnalisées et individualisées pour leur permettre de réaliser des progrès. Là encore, cela permettra en outre de préserver leur autonomie. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture