Mémoire répondant à la problématique suivante : En quoi des mises en situation centrées sur le vécu de l'enfant peuvent-elles favoriser l'apprentissage d'une langue ? Le cheminement de l'auteur a été de partir des quatre compétences linguistiques et de la prise en compte de leurs évaluations pour apporter une réponse.
[...] Pourquoi ne la sait il pas quand il est en classe ? C'est l'absence de gestes mentaux qui est à l'origine de la situation d'échec. La mémoire va fonctionner seule sans l'imagination car l'élève s'en tient seulement à la situation présente qui est celle de l'apprentissage de la récitation. L'enfant ne donne pas un but à son apprentissage car il y a une absence de finalité. Il faut donc donner du sens aux activités pour que les élèves apprennent toujours dans le but de L'apprentissage repose sur des concepts quotidiens dont disposent l'enfant d'où l'intérêt de partir du vécu de l'enfant. [...]
[...] Le maître décrit un monstre et les enfants devaient attribuer à ce monstre 4 bras pieds, etc . Cette activité a pu me prouver que le lexique était compris de tous ainsi que la structure I've got J'ai vue précédemment. Pour évaluer l'expression orale, lors de la séance sur le temps qu'il fait le maître place une flash card météo sur l'un des pays et demande à un enfant quel temps il fait sur ce pays. Cette évaluation est individuelle et a pour but principal de vérifier la prononciation. [...]
[...] Au delà du plaisir, le jeu offre un excellent moyen d'apprendre ! Il fait partie intégrante du développement de l'enfant. Les justifications éducatives et pédagogiques du LUDIQUE et du jeu : C'est un moyen sécurisant pour l'enfant de rentrer dans une activité. Le plaisir fait obstruction à l'effort moins douloureux d'apprendre et ni l'effort consenti ni la concentration requise ne sont perçus par le joueur. Deux sortes de jeux semblent être intéressant pour cette pédagogie du ludique de par leur caractéristiques. [...]
[...] Par exemple, avec le jeu de la balle, l'enseignant peut choisir de lancer celle-ci vers des enfants qui sont introvertis et qui ne prennent pas beaucoup la parole. Il faut donc veiller à alterner des activités ludiques collectives avec des activités ludiques plus individualisées afin que tous les enfants puissent accéder à la parole. Néanmoins, lors d'activités telle que le what's missing (qu'est-ce qu'il manque rien n'empêche l'enseignant de changer d'enfant meneur du jeu. L'une des activités intéressantes pour permettre la prise de la parole par tous est le pair work (travail par deux) qui permet aux élèves d'être en situation de communication réelle et qui permet au plus timide de ne s'exprimer qu'en présence du partenaire et de l'enseignant, ce qui dédramatise la prise de parole pour ces enfants. [...]
[...] S'il est, identique, il n'y a pas de problème, il y a soit mauvaise expression ou mauvaise compréhension. Cette réelle situation de communication, allié au ludique, est suffisamment motivante pour que les enfants fassent l'effort de se faire comprendre et de comprendre. Il faut offrir aux enfants le moyen de s'exprimer dans de réelles situations de communication, ce qui permet à ceux-ci de saisir l'enjeu d'une langue vivante : se faire comprendre et comprendre. COMPREHENSION ET EXPRESSION ECRITE : Pour éviter une lecture déformée des mots, d'expression ou d'énoncer mal maîtrisés entraînant une altération de la prononciation, la rencontre avec l'écrit ne se fait qu'après présentation orale des notions à utiliser. [...]
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