Méthode de dissertation, énonciation, références, plan dialectique, développement, dissertation
Comment savoir si nos références littéraires sont autorisées, encouragées, validées ? cf. des sources fiables, consultées par les enseignants qui permettent d'évaluer l'accueil de la référence envisagée dans une culture savante, et des sites fiables où trouver des infos sur les auteurs : manuel scolaire ; France culture ; tv5monde (grands textes ; théâtre) ; (théâtre) culturebox (France télévisions), site de l'éditeur de l'auteur envisagé (Gallimard, Editions de Minuit, Actes Sud…)
[...] Plutôt une progressivité : I – postulat de la question, sous-entendu : il se vérifie, il s'illustre, il se justifie l'évidence), II – conditionner : c'est le moment d'un regard plus nuancé du sujet la lecture approfondie) III – la vraie question cachée (le sujet posé n'aura été qu'un prétexte) (plusieurs questions larvées possibles) Conclusion 2 phases obligatoires (un seul bloc, avec alinéas) Bilan (reprise des axes) Ouverture, avec trois possibilités, de la + conseillée à la + risquée Citation (d'auteur, commentaire de critique) qui illustre le problème Questionner le problème dans un autre art Poser une nouvelle question (pertinente et vraisemblable) REFERENCES, exemples 1 référence inédite (à l'échelle de la copie), inexploité par paragraphe =sous-partie (pas de recyclage ) ; ne pas hésiter à expliquer en quoi notre exemple illustre particulièrement l'idée défendue, faire parler l'exemple références différentes obligatoires au fil de la copie = 6 exemples commentés Exemple de sujet traité IONESCO a affirmé que « le théâtre » n'était jamais qu'un « match de boxe. » Partagez-vous cette conception du théâtre ? [...]
[...] 2.Vide existentiel plus grave que le trop plein fatal (CLAUDEL n'est-il finalement pas plus cruel que RACINE Dans le partage de midi (histoire d'un adultère mal vécu), les personnages sont déchirés et rien n'est vraiment résolu, tout aura été sacrificiel et insatisfaisant jusqu'au bout pourtant officiellement personne n'est mort et le sang n'a pas coulé. Mais n'est-ce pas en fin de pièce pas plus douloureux qu'une pièce spectaculaire mais où les « méchants » sont finalement punis et la Cité, le monde des spectateurs assaini (cf. Phèdre de RACINE, l'héroïne coupable meurt, la mort d'Hippolyte le jeune innocent est vengée ; bref, la morale est sauve). [...]
[...] du texte, du découpage, une issue prévue, attendue, pressentie depuis longtemps (prologue d'Antigone -Anouilh) : le spectateur sait à quoi s'attendre Bienséance : 17e s. Langue ampoulée, ourlée, imagée (alexandrins, longues tirades, descriptions, narration) III/ la violence : une notion fluctuante 1. Au théâtre, issue connue, prévisible alors que dans la vie ? Dès le prologue d'Antigone (Anouilh) : « Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde ( . ) Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. [...]
[...] Vous vous appuierez pour répondre sur les textes étudiés ainsi que sur votre culture personnelle. théâtre = match de boxe Explicitation du mot-clé, terme-clé du sujet = violence, combat, corps à corps, confrontation avec deux camps définis (un vainqueur, un perdant) 1. violence de la parole : exacerbée, dite fort, rythmée, cadencée, scandée , orchestrée, coupée par la fin de la scène 2. théâtre = spectacle = effets et traits forcés, tempéraments hors-norme (2h chrono, plein la vue) Lucrèce Borgia, Médée, Phèdre = personnages plus monstrueux que la moyenne. [...]
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