Demain, économie, éducation, agriculture, énergie, démocratie, Mélanie Laurent, Cyril Dion, Finlande, Kari Louhivuori
Le film « Demain », réalisé par Mélanie Laurent et Cyril Dion, abordent les solutions de demain à travers cinq sujets : L'économie, l'éducation, l'agriculture, l'énergie, et la démocratie. Pour cela, les réalisateurs ont voyagé à travers le monde pour récolter les témoignages de différentes personnes qui présentaient leur propre solution pour demain.
[...] Trois ans plus tard, les élèves sont à nouveau testés et les jeunes finlandais remportent encore la victoire, cette fois en mathématiques. Dans l'école de Kari Louhivuori, les professeurs apprennent aux enfants à se préparer aux épreuves de la vie avec différentes méthodes, en fonction de l'élève. Le redoublement est rare en Finlande, c'est quelque chose de désuet, qui ne fait pas ses preuves et qui ne se fait qu'en cas d'extrême urgence ou de gros échec. Lorsqu'un élève est en échec, un professeur le prend sous son aile et l'accompagne pour surmonter les difficultés, il y a une proximité professeur-élève que nous ne retrouvons pas dans nos régions, où l'on nous dit qu'il faut se distancer de l'élève pour garder l'autorité. [...]
[...] Mélanie Laurent et Cyril Dion sont allés en France, aux USA, en Scandinavie, Inde, Belgique, Suisse, Grande-Bretagne, et en Islande pour rencontrer les différentes personnes qu'ils souhaitaient interroger. Majoritairement financé par des particuliers, Demain est un film par et pour les citoyens. L'éducation L'équipe du film s'est rendue en Finlande pour rencontrer le proviseur de la Kirkkojarvi Comprehensive School à Espoo (Finlande), à une vingtaine de kilomètres de la capitale (voir carte). Kari Louhivuori accueille Mélanie Laurent et Cyril Dion afin de leur présenter le fonctionnement de son école. [...]
[...] Ce n'est qu'une fois la maîtrise du finnois acquise que les élèves sont confrontés aux mathématiques, l'histoire, la science, etc. Pour pouvoir gérer ces élèves, les professeurs sont bien formés, et plus longtemps qu'en Belgique. Ici, un enseignant peut donner cours après 3 ans d'études, mais en Finlande, il faut au minimum un master pour enseigner. Les enseignants sont spécialisés dans l'apprentissage multi-culturel. Les élèves ne sont pas contrôlés et ne passent pas de tests communs à tous. Personne ne vient vérifier si on suit le programme. [...]
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