Fabrication d'un jeu de société, parler l'anglais, parler québécois, Conseil supérieur de la langue française, bilinguisme, langue étrangère, design, Parker Brothers, Monopoly, cours d'anglais, apprendre l'anglais, apprendre une langue étrangère, méthode d'apprentissage
Au Québec, malgré 12 années passées à l'école primaire et secondaire à apprendre l'anglais, cette langue seconde demeure difficile à parler et écrire couramment pour certains Québécois. En effet, dans les établissements scolaires, l'anglais est une matière où on apprend beaucoup sur la grammaire et sur comment répondre à des questions d'examens de lecture, et où on discute et écrit à propos de sujets qui ne passionnent pas nécessairement tous les élèves. Cela fait en sorte que ceux-ci savent bien peut-être comment conjuguer un verbe au "simple past", mais n'ont pas la capacité de s'exprimer correctement en anglais. Par conséquent, on peut retrouver plusieurs élèves qui passent leurs cours d'anglais haut la main, mais qui, pourtant, n'arrivent pas à communiquer dans cette langue dès qu'ils sont mis face à face avec un anglophone.
Un des membres de notre équipe a appris l'anglais grâce à l'écoute quotidienne d'émissions de télévision et de vidéos ainsi qu'en lisant des livres ou pages Internet dans cette langue. Nous croyons qu'il faut vraiment s'immerger dans une utilisation et une écoute journalière de l'anglais pour l'apprendre. Par conséquent, les cours d'anglais à l'école seuls ne suffisent pas pour maîtriser cet idiome.
[...] Pour le niveau auquel notre jeu peut faire pratiquer et apprendre l'anglais, ces élèves en secondaire 1 ont donné une note moyenne de 7. Puisque nous avions amené notre solution à l'école pour la faire essayer par ces quatre élèves, cela peut aussi constituer un test qui nous démontre que notre solution est assez légère et facilement déplaçable. B. Évaluer de manière critique dans quelle mesure la solution est une réussite par rapport au cahier des charges Notre solution est une réussite, car elle respecte toutes les contraintes du cahier des charges. [...]
[...] De plus, lors des parties, les échanges de propriétés permettent la communication et des interactions entre les joueurs ainsi que l'utilisation de stratégies pour obtenir les meilleurs « deals » afin de gagner. De surcroît, le concept du jeu et les règles de base sont faciles à comprendre et à apprendre. Lorsqu'on joue, on ne ressent jamais de temps d'arrêt, car il y a toujours quelque chose qui se passe, soit une collecte de loyer, des négociations, des achats, etc. Le Monopoly possède plusieurs points faibles néanmoins. [...]
[...] Pour la convenance des niveaux de difficulté des questions de nos cartes de jeu, nos testeurs ont donné une note moyenne de ce qui veut dire que les questions des cartes de jeu sont appropriées pour notre public cible et adaptées pour leurs compétences en anglais. Pour la facilité d'utilisation de notre solution, la note moyenne donnée était de ce qui signifie que les règles et le fonctionnement de notre jeu de société sont faciles à comprendre. Pour le niveau d'amusement que notre jeu a procuré aux quatre testeurs, ils ont donné une note moyenne de ce qui veut dire que notre jeu est plaisant à jouer. [...]
[...] On peut créer plus de cartes de questions en allant chercher davantage de notions et d'exercices dans les livres et sites Internet de notions anglaises que nous avions trouvés. Une autre lacune de notre solution est le fait que nos cartes de jeu ne soient pas toutes coupées de façon parfaitement droite, donc cela gâche l'aspect esthétique de notre jeu. On pourrait alors améliorer notre solution en dépensant plus de temps et en étant plus minutieuses avec la coupe des cartes de jeu pour qu'elles soient toutes parfaitement rectangulaires et symétriques. [...]
[...] Pour ce qui est de ses points forts, il y a trois niveaux de difficulté pour les questions et en répondant correctement à une question, le joueur doit augmenter son niveau et s'il donne une mauvaise réponse, il doit le diminuer. Ainsi, une personne qui est bonne en géographie n'est pas avantagée dans le jeu puisqu'elle devra répondre à des questions de plus haut niveau qu'un joueur moins expérimenté. Aussi, ce jeu est très éducatif et, quel que soit le niveau de connaissances d'un joueur, il apprendra toujours quelque chose de nouveau. Les cartes-questions contiennent plusieurs types de questions, donc le jeu ne devient pas redondant. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture