L'école existe depuis des siècles mais elle a tout d'abord concerné les gens riches et de bonne famille. Chez les civilisations antiques on retrouve une instruction des jeunes dont le but n'était pas de développer les facultés de l'enfant mais d'en faire un citoyen uniformisé capable de conserver la prospérité de l'Etat selon les principes ancestraux. Des siècles plus tard, quand l'Eglise eut un pouvoir total, elle devint maîtresse de l'éducation. L'école servit alors au recrutement de ses clergés et à l'enseignement prépondérant de la religion. Elle fut également au service des rois et des princes qui avaient besoin de sujets croyants et « intelligents ». Après la Révolution, l'école passe sous la responsabilité de l'Etat. La constitution de 1791 la déclare « commune à tous les citoyens, gratuite à l'égard des parties d'enseignement indispensables à tous les hommes. » C'est Condorcet qui en tracera les grandes lignes en 1792. Pendant les nombreuses années qui suivirent, l'école élémentaire fut négligée jusqu'en 1879 où la France redevenue républicaine reprend l'œuvre de la Révolution. L'école retrouve sa place dans l'instruction publique et une série de lois la régissent ensuite. Parmi les plus importantes, on retrouve la loi Ferry de 1881 (cf. annexe 1) qui la rend obligatoire, aux frais de l'Etat donc gratuite et laïque. En 1886 la loi Goblet en fixe l'organisation générale. Puis l'instruction sera obligatoire tout d'abord jusqu'à 14 ans (1936) puis jusqu'à 16 ans (1959). Pour encourager les familles à envoyer leurs enfants à l'école, une loi votée en 1951 instaure une allocation (loi Barangé). En 1969 l'école devient mixte. Dernière en date (23 avril 2005), la loi d'orientation et de programme pour l'avenir complète la loi Fillon de janvier 2004.
[...] C'est Condorcet qui en tracera les grandes lignes en 1792. Pendant les nombreuses années qui suivirent, l'école élémentaire fut négligée jusqu'en 1879 où la France redevenue républicaine reprend l'œuvre de la Révolution. L'école retrouve sa place dans l'instruction publique et une série de lois la régissent ensuite. Parmi les plus importantes, on retrouve la loi Ferry de 1881 (cf. annexe qui la rend obligatoire, aux frais de l'Etat donc gratuite et laïque. En 1886 la loi Goblet en fixe l'organisation générale. [...]
[...] L'école, lieu de formation intellectuelle et d'instruction, utilise un langage plus abstrait que celui de la vie courante : il se servira plus à manifester ses émotions, ses désirs, etc. Il est moins utilitaire et par conséquent plus complexe. I. Maîtrise du langage dans l'étude de la langue française. Prendre la parole en public est toujours un acte difficile en raison de la peur que celui-ci inspire, la crainte du jugement par l'adulte ou par les autres élèves ou encore à cause d'une inhibition de la part de l'élève. [...]
[...] Elle demande What it is en montrant une étiquette. Un des enfants répond it's S'il s'agit d'un objet au singulier il ajoute le déterminant a et il ne l'énonce pas si l'objet est au pluriel ou s'ils y a plusieurs objets. Ensuite l'institutrice répète pour faire part de la prononciation correcte du mot. Le jeu commence par l'élève qui pioche au hasard trois de ses étiquettes et les dispose sur son plateau. Un responsable se charge du tirage au sort. [...]
[...] L'enfant doit alors reformuler avec ses propres mots un texte lu et entendu. Par la suite, les autres élèves peuvent ensuite être en désaccord mais doivent justifier en s'aidant du support qu'est le texte. C'est une des exigences en ce qui concerne le domaine oral de la littérature. Mais ce n'est pas la seule. En effet les élèves doivent être capables de participer à un débat sur un texte littéraire entier, ou seulement un fragment, en justifiant leur point de vue. [...]
[...] La prise de parole devant un public quel qu'il soit ne s'improvise pas. C'est une technique particulière qui nécessite un apprentissage permanent. En effet il faut savoir quels aspects du travail mettre en avant, déterminer l'ordre le plus pertinent ainsi que la meilleure façon de transmettre les informations. Selon les programmes en vigueur, une demi-heure hebdomadaire doit être consacrée à la vie collective. Elle peut s'organiser de différentes façons. Ainsi, dans une des classes de CM1 où j'ai passé la journée, cette séquence s'organise en une prise de parole le lundi matin : les élèves qui le souhaitent peuvent raconter les évènements marquants de leur week-end. [...]
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