Instituteurs, IIIe République, Charles Péguy, Claudine à l'école, Colette et Willy, enseigner, enseignement
Charles Péguy surnommait les instituteurs dans son livre L'Argent publié en 1913 de « hussards noirs » de la République. En effet, « nos jeunes maîtres étaient beaux comme des hussards noirs ». Ici, nous avons un corpus de quatre textes écrits au XXIe siècle qui retrace la formation d'in enseignant durant la IIIe République. Le premier texte que nous avons à étudier est un extrait de Claudine à l'école publié par Colette et Willy en 1900 c'est à dire en plein cœur de la IIIe République. Ici la scène se passe durant un examen le brevet supérieur, où la jeune Claudine narre sa propre histoire et celle de ses consœurs. Elle raconte quelles seront les futures conditions de vie des institutrices après avoir passé et réussi leurs examens.
[...] Ils font une sorte de propagande pour montrer que l'ascenseur social existe que nous sommes pas condamnées à faire le métier de notre père ou mère grâce entre autres aux lois Ferry : mythe social d'une mobilité ascendante l51. Alors que Pagnol lui même professeur dit comme le deuxième auteur que c'est effectivement que des paysans ou ouvriers : ils étaient presque tous fils de paysans ou d'ouvriers. l66. Alors que les enfants d'instituteurs sont rare : forte minorité l24-25. [...]
[...] (citations) Nous pouvons conclure cette partie en disant que II-Une formation Dans cette deuxième partie, nous allons voir en quoi consiste la formation d'un instituteur. Nous verrons que pour devenir instituteur, il faut passer un concours, qui permet d'obtenir le fameux sésame. Mais qu'avant cela il faut entrer dans une école. Et que le choix de l'école est déterminant pour l'avenir. Des diplômes Tout d'abord, pour être instituteur il faut avoir un diplôme. La narratrice du premier texte nous montre clairement qu'elle est sur le point de passer le brevet supérieur quand elle nous explique pourquoi elle se trouve là. (citations). [...]
[...] En effet, il dit qu'avant tout le monde pouvait devenir instituteur alors que maintenant c'est plus compliqué. Quant au dernier texte, il nous dit qu'avant d'être instituteurs ces derniers ont reçu une culture générale (citations) en quelque sort on les a éduqué à être des bons représentas de l'état. Il dit aussi que le summum pour un instituteur ce n'est pas avoir son brevet d'instituteur mais une palme académique (citations) Des camarades Les textes 2 et 3 insistent beaucoup sur les instituteurs ou le groupe qu'il forme. [...]
[...] Ou a contrario si c'est pour qu'il prouve qu'ils méritent les avantages que nous avons évoqués précédemment. Le texte lui nous parle plus d'une mobilité géographique ce qui prouve qu'un instituteur est mobile mais lui le voit dans le sens où on n'enseigne plus là où on est né. Evolution Enfin, nous terminons notre analyse en montrant qu'un instituteur met du temps à gravir les échelons comme nous le montre Pagnol. Le texte 1 lui nous montre des perspectives pas très réjouissantes (citations). [...]
[...] Puis on essayera de montrer que ce n'est pas vraiment lui qui a fait le choix de devenir instituteur mais plutôt sa famille. Ce qui l'amène à être la victoire familiale, le trophée de famille. Ses origines Tout d'abord, nous allons commencer par voir les origines sociales d'un instituteur. Tous les textes que nous avons à étudier, nous parle des origines d'un instituteur. Ils insistent sur les origines des instituteurs de manière différentes. Toutefois, les auteurs montrent que la majeure partie des futurs instituteurs sont issus de familles ouvrières ou paysannes. [...]
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