La première définition neuropsychologique de la dyscalculie a été avancée par le chercheur Kosc (1974), qui l'a définie comme une difficulté au niveau des performances en mathématiques. Il fut pensé que la dyscalculie serait causée par le dysfonctionnement de processus de traitement du calcul et d'aires cérébrales particulières.
Les chercheurs n'ont actuellement aucun moyen pour diagnostiquer la dyscalculie sur la base de ses causes sous-jacentes, ils posent donc leur diagnostic sur la base des effets qui s'en suivent, à savoir les difficultés en mathématiques.
Ainsi dès l'âge de 6 mois, le nourrisson sait distinguer les petites quantités. Pourtant, certains enfants atteints de dyscalculie ne parviendront jamais à effectuer les calculs les plus élémentaires. La dyscalculie concerne donc l'acquisition des mathématiques chez les enfants d'intelligence dite normale, mais reste encore largement méconnue. Elle peut cependant avoir d'importantes conséquences, tant sur la scolarité que sur l'insertion professionnelle. Ce terme désigne en fait des troubles fort différents, d'autant que les spécialistes eux-mêmes, orthophonistes ou neuropsychologues, ne s'accordent pas sur sa définition. Les spécialistes désignent par dyscalculie cette grande difficulté à calculer, à se représenter une quantité exprimée par une valeur numérique. Pour les enfants qui souffrent de ce trouble, l'école est souvent synonyme de stress vu la primauté donnée aux mathématiques dans notre société.
[...] Pourtant, certains enfants atteints de dyscalculie ne parviendront jamais à effectuer les calculs les plus élémentaires. La dyscalculie concerne donc l'acquisition des mathématiques chez les enfants d'intelligence dite normale, mais reste encore largement méconnue. Elle peut cependant avoir d'importantes conséquences, tant sur la scolarité que sur l'insertion professionnelle. Ce terme désigne en fait des troubles fort différents, d'autant que les spécialistes eux-mêmes, orthophonistes ou neuropsychologues, ne s'accordent pas sur sa définition. Les spécialistes désignent par dyscalculie cette grande difficulté à calculer, à se représenter une quantité exprimée par une valeur numérique. [...]
[...] Symptômes de la dyscalculie L'enfant ne peut se libérer de matériel concret. Il compte sur ses doigts jusqu'à la deuxième ou la troisième année primaire. Il apprend par coeur le résultat d'opérations arithmétiques, mais ne les comprend pas. Répéter et s'exercer n'apporte que peu d'amélioration. L'écolier éprouve de grandes difficultés à se représenter des formes géométriques, à lire l'heure, à évaluer des distances ou des laps de temps et à reconnaître des suites numériques régulières. Les devoirs d'arithmétique à faire à la maison sont souvent un cauchemar et prennent un temps fou. [...]
[...] Certains ne parviennent pas à comprendre ce qu'est un nombre : incapables d'établir un lien entre le symbole et la quantité, il leur est impossible par conséquent de comparer deux valeurs, d'évaluer de petites quantités et de maîtriser le système numérique, compétence que l'on considère comme devant être acquise à la fin du CM2. D'autres types de troubles affectent les procédures de calcul : les enfants commettent des erreurs systématiques en posant leurs opérations ou les confondent. Ils peuvent par exemple commencer une soustraction qu'ils terminent en addition. Ce qui distingue la dyscalculie, justement, c'est son caractère durable: le trouble persiste dans le temps et subsiste malgré toutes les tentatives pédagogiques. [...]
[...] Or la dyscalculie peut frapper à chacun de ces trois niveaux. Voici une liste non exhaustive énonçant les différents problèmes qu'un enfant souffrant de dyscalculie peut rencontrer. Une incompréhension du vocabulaire et des signes mathématiques. Une non-fixation des chiffres (écriture, lecture, signification). Une absence de notion de nombre en tant qu'expression d'une quantité. Une mauvaise estimation des quantités désignées. Une absence d'abstraction du nombre (comptage digital, erroné, non- comparaison, non-intercalation, non-représentation, non- décomposition). Une impossibilité de passer la dizaine. La multiplication limitée au cumul additif. [...]
[...] Ca permet d'entretenir l'industrie. Ca donne des gens parfaitement normaux qui souffrent toute leur vie pour le bien-être financier de ces parasites- charlatans (à l'image d'un nouveau clergé). La science se base sur le principe de falsifiabilité c'est-à-dire que toute théorie doit être formulée de telle façon qu'on puisse en apporter la preuve du contraire. C'est ce qui, en principe, distingue la science d'une doctrine. Or ici, on admet l'existence de pathologies mentales congénitales avec tout l'arsenal "thérapeutique" qui s'ensuit ! [...]
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