Une école d'application est une école où enseignent des professeurs qui ont des responsabilités à l'Institut Universitaire de Formation des Maîtres. Ils sont tous maîtres formateurs, c'est-à-dire qu'ils sont capables de former des étudiants qui visent à devenir professeurs des écoles. C'est donc une école qui accueille beaucoup de stagiaires, de première ou deuxième année à l'I.U.F.M., qui observent les professeurs, font de courtes séances aux élèves pour les étudiants de première année, ou prennent la classe des demi-journées entières pour les étudiants de seconde année.
L'école comporte neuf classes, les unes sont mixtes, les autres simples. On compte neuf professeurs des écoles, un par classe, qui sont pour la plupart maîtres formateurs à l'I.U.F.M. Comme ils ont des responsabilités à l'Institut, ils sont remplacés un tiers de leur temps de classe par des maîtres appelés E.R.M.F : Enseignants Remplaçants des Maîtres Formateurs. On en compte quatre dans l'établissement car ils enseignent souvent à plusieurs niveaux. De plus, des intervenants extérieurs viennent plusieurs fois par semaine, pour enseigner les langues, la musique et l'art plastique. L'équipe enseignante est stable, c'est-à-dire qu'elle ne change que peu d'une année sur l'autre, et quand des enseignants quittent l'école, c'est souvent pour devenir directeur d'une autre école.
Le nouveau projet d'école est un bilan de ce qui va bien ou pas dans une école, et à partir duquel on met en place des activités à faire par professeurs et écoliers afin d'améliorer les choses qui ont été relevées comme insatisfaisantes. Il est prévu pour trois ans, au bout desquels on fait une évaluation. Si elle n'est pas satisfaisante, on peut le prolonger d'une année. Le projet 2006-2009 vient d'être terminé, à l'école primaire Oscar Cléret. Entre autres, il présente une partie qui veut « impliquer l'enfant dans son environnement ».
Chaque enfant a un correspondant à l'étranger avec qui il échange des lettres, ce qui favorise la communication entre différentes cultures, et l'ouverture d'esprit des élèves.
Des visites sont organisées par l'école : le 14 novembre les enfants sont allés visiter la cité nature d'ARRAS où ils ont pu voir des expositions sur l'agriculture ; fin novembre ils sont allés écouter un concert à la médiathèque… Ils ont aussi été mis à contribution lors de la confection d'objets pour le marché de Noël de l'école.
On peut aussi parler des voyages de classe qui sont l'occasion pour les enfants d'acquérir une certaine indépendance puisqu'ils passent d'une à deux semaines loin de leurs parents.
[...] Ce n'est pas un trouble, le locataire doit accepter, même si cela le gêne, sauf, selon le Code civil si les travaux sont trop importants ou troublent trop la jouissance. Alors, il recevra une indemnité. Trouble de fait : Le propriétaire prétend que certaines réparations sont à sa charge et lui envoie des huissiers. La garantie du fait des tiers Le propriétaire n'en est pas tenu des troubles de fait causés par des tiers. Par exemple des clochards qui viennent dormir sur le paillasson, ou les voisins qui sont trop bruyants. Les troubles du voisinage ne sont pas garantis. C'est ce que prévoit l'article 1725 du Code civil. [...]
[...] La loi exige que le bien soit dans un état décent. Un minimum de qualité, le bon état. Par conséquent, si les murs sont abîmés, le lavabo est cassé, le locataire est en droit de refuser l'exécution du contrat. Une clause contraire est elle possible ? Peut-on mentionner le locataire prend les locaux dans l'état où ils se trouvent ? Encore, cette hypothèse est très pratique. Les premiers locataires dégradent le bien, le bailleur décide de relouer en l'état. Cette clause n'est pas valable. [...]
[...] On retrouve la responsabilité contractuelle du fait dans choses. Bien sûr, cela peut être injuste, ce n'est pas le propriétaire qui a fabriqué le chauffe-eau, mais cependant, le propriétaire de l'immeuble qui met à la disposition des locataires le chauffe-eau est garant : c'est la différence entre la garde du comportement et la garde de la structure de la chose dangereuse, encore très métaphysique. La garantie d'éviction On parle dans le Code civil de jouissance paisible. Reprenons les différentes hypothèses d'éviction. [...]
[...] Il y a donc un bel exemple d'un mode de raisonnement par analogie. Sur la question du remboursement ; si par exemple le locataire fait remplacer le chauffe-eau, alors que ça ne lui incombe pas, ou si le propriétaire fait repeindre. Est-ce qu'une partie peut se faire rembourser par l'autre : cela fait penser aux quasi-contrats, c'est à dire l'enrichissement sans cause ou la gestion d'affaires. La Cour de Cassation se montre inflexible énonce que non, il ne se fera pas rembourser. [...]
[...] Le bailleur peut exiger d'eux qu'ils ne troublent pas le voisinage. Il y a donc une garantie du bailleur du fait des colocataires. C'est pareil pour les enfants, même majeurs. Enfin, ce peut être un locataire commercial : 3e civ Mai 2006 : un locataire commercial qui subissait un dommage d'une concurrence déloyale causée par un autre locataire du propriétaire. La Cour de Cassation a dit garantie du fait des tiers. Il y a bien dans certains cas une responsabilité contractuelle du fait d'autrui. [...]
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