Toute sa vie, Pestalozzi s'est intéressé aux principes de l'éducation. Pour comprendre ses actions, il apparaît nécessaire de revenir quelque peu sur le contexte spatio-temporel.
Pestalozzi se trouve alors en Suisse. Une classe est montante : celle des bourgeois. La précarité augmente dans les villes, on peut alors voir apparaître des mendiants de plus en plus nombreux dans la ville, attiré par les usines de tissages (...)
[...] - Le principe d'activité : l'enfant doit faire, et non pas regarder faire. - Le principe de la reprise autonome : un enseignement à de sens que s'il transforme le sujet pour quelque chose de nouveau. - Le principe d'éducation de l'éducateur : il y a démonstration de ces compétences à transmettre. Pour Pestalozzi, il y a alors trois grands axes de sa pensée : - Le cœur, c'est la dimension du vouloir. - La tête celle du savoir. - La main celle du faire. [...]
[...] Ces deux échecs vont marquer Pestalozzi. Peu après, un conseiller va proposer à Pestalozzi d'écrire dans l'un des plus grands journaux. On pourra par exemple y voir un mémoire sur l'infanticide. Ce journal va lui permettre de prendre conscience de son talent en matière d'éducation et de pédagogie. Ainsi il en arrive à l'idée suivante : l'éducation doit préparer les enfants à entrer dans le monde. L'innovation est alors l'idée de préparer l'enfant à ce qu'il deviendra plus tard. Les apprentissages doivent être en lien avec la réalité. [...]
[...] - Le professeur doit suivre les élèves pendant toute la scolarité. - La non-séparation entre l'enseignement et l'éducation. - L'éducation est individualisation, solidarité, continuité. - L'éducation est aussi invention : il va inventer des outils et s'interroger sur ces outils. - L'éducation du corps : introduction de la gymnastique. Quelles sont alors les finalités de l'éducation et de la pédagogie proposées par Pestalozzi ? - L'éducation est alors centrée sur l'enfant, comme individu unique, elle doit donner à l'enfant des outils pour vivre. [...]
[...] Coincé par ce problème, Pestalozzi va alors faire l'expérience de qualité : celle d'être père, en suivant les méthodes de Rousseau L'Emile Son éducation va alors être un échec, son enfant va devenir incontrôlable. De ces échecs va alors naître une idée de Pestalozzi : Deviens qui tu es, le monde est ce que tu veux L'idée innovatrice est alors celle que l'Homme se construit dans l'éducation. Le but de l'éducation est de faire œuvre de soi-même. La nature n'apprend rien. L'éducation construit le chef d'œuvre de soi-même. [...]
[...] Toute sa vie, Pestalozzi s'est intéressé aux principes de l'éducation. Pour comprendre ses actions, il apparait nécessaire de revenir quelque peu sur le contexte spatio- temporel. Pestalozzi se trouve alors en Suisse. Une classe est montante : celle des bourgeois. La précarité augmente dans les villes, on peut alors voir apparaitre des mendiants de plus en plus nombreux dans la ville, attiré par les usines de tissages. Pestalozzi, prône une éducation différente de celle du reste du monde. Originaire d'une famille bourgeoise, celui-ci à reçu une très bonne éducation, il a pu avoir accès aux meilleurs écoles Les enseignements qui y sont donnés sont décalés, hors du temps. [...]
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