Mémoire de titularisation d'un professeur de Lettres sur l'élaboration d'un travail d'écriture de textes courts, prenant pour modèle les Histoires Pressées de Bernard Friot.
Sommaire
A. Le « va t'y pa que j' t'écry kom j'pense » 1. L'immédiateté de l'écriture 2. Ecrire, entre envie et réticences 3. La spontanéité, un cheval fougueux à dompter B. Une maîtrise des codes pour une expression personnelle 1. L'écriture, un code rigoureux qui nécessite un travail d'appropriation 2. L'écriture, une expression de soi personnelle 3. Les textes réticents, un corpus de choix C. Réagir face à des élèves qui se situent dans une lecture et une écriture très linéaires 1. Les amener progressivement à ne plus considérer le texte comme un acquis immédiat 2. Les amener régulièrement à un travail de (ré)écriture orientée et leur donner les outils d'une écriture qui prend en compte son lecteur
II) L'"écriture pressée", en théorie, un objet d'étude riche
A. Histoires Pressées, une exploitation par le genre 1. De l'étude d'une structure... 2. A l'étude d'un genre B. Histoires Pressées, un genre particulièrement structuré 1. Le principe de la chute 2. Le principe de décalage 3. Le rythme C. Une appropriation difficile, mais qui validerait des acquis non négligeables 1. Une source intarissable, le quotidien 2. Porter un regard neuf sur le monde
III) Et pratiquement...
A. En préliminaire et en parallèle à la séquence 1. Les travaux d'écriture 2. La figure du lecteur détective 3. Le cahier d'écriture 4. Le travail régulier sur le brouillon 5. Le travail de réécriture B. Expérimentation et remarques 1. Descriptif des séances 2. L'évaluation 3. Bernard Friot, un « écrivain public » C. Et si c'était à refaire... 1. Bénéficier de l'appui de Histoires Pressées 2. Développer des démarches analytiques et rétrospectives, un intérêt à long terme 3. Bilan provisoire
Annexes
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