Doctrine du Christianisme, parole divine, Islam, Grande Eglise, Combat d'Arius, fils de l'Homme, Aryen
Ici une des pierres d'achèvement c'est la place de la formulation sur la parole divine, pour l'Islam du moins l'islam sunnite (majoritaire) la question est très simple, car cette posture est l'unicité de dieu, son message ultime a été transcrit par Mahomet le prophète qui est le dernier prophète qui clôt l'affirmation et cela n'appelle pas de commentaire, il y a eu d'intenses débats dans l'islam avant le 9e siècle, après la doctrine est devenue un élément qui n'appelle à un grand commentaire, sur la dimension juridique sur la normativité il va y avoir de grandes idées.
[...] Constantin deux ans plus tard opère un revirement, il donne son appuie à la doctrine de l'infériorité modérée des prêtres d'orient. Ses fils se partagent l'empire, ils sont 2 l'un en Orient l'autre en occident, en 337, en orient il y a Constance, son autre fils Constant, va soutenir les Nicéens, contre les semi Ariens, Constance va l'emporter et de 353 à 361, l'empire romain est soumis à la doctrine Arianisme, il va essayer d'imposer l'Arianisme modéré au Pape, à la fin des années 350, le courant arien est en 4 mouvements, un de ces courants, Homéen courant notamment, cela vient du grec Homeos semblable, ce courant précise que le père et le fils sont semblables ; courant dominant en orient notamment par l'empereur Valens (364-378) qui va soutenir ce courant, en orient, tandis qu'en occident règne son frère Valentinien, qui a une particularité, il est singulier, dans ces querelles les évêques accouraient pour avoir l'avis de l'empereur, quand les évèques ont été voir valentinien, il a dit tant que vous ne troublez pas l'ordre public, il n'intervient pas, et ne se mèle pas des discutions doctrinales, il va mettre un statut bien moins défavorables pour les autres religions, il va essayer de mettre en place un système complètement à part dans l'histoire religieuse moderne. [...]
[...] Arius prêtre va donner des rapports entre le père et le fils. Le conflit débute avec les prêches d'Arius, celui ci était talentueux, il y a des marches, mais il existe des marches non négociables, le fils est inférieur au père pour Arius, le fils est divin, il est avant les temps, mais il y a eu un moment ou il y a eu le père et pas le fils, les Ariens se sont servis d'un texte ou le fils dit le père est plus grand que moi cela va créer des tumultes car 2 choses ; nous sommes à une époque ou il y a des esprits forts qui existe mais il y a une masse, pour qui les termes de la religion sont très importants, à cette dimension s'ajoute une dimension politique, dans les faits les deux politiques et religions sont liés, il va y avoir des interventions extérieures qui vont développés des écoles de pensées celle d'Antioche et celle d'Alexandrie, école d'exégèse du christianisme, il y a deux méthodes différentes, les syriens ont une approche littérale du texte, une approche historique, le texte est un récit édifiant, approche littéraliste et historique, il y a quelque chose à en tirer, c'est un récit historique pour que les hommes comprennent d'ou vient la religion. [...]
[...] Dans le christianisme, la doctrine a une place prépondérante, il y a une grande divergence, le christianisme propose un crédo qui laisse place à une grande interprétation. Le christianisme se fonde sur la trinité, dieu unique mais connu sous 3 formes, le dieu unique qui se place au centre, on voit que de nombreux téléologiens, qu'il y a une logique, une cohérence à ce que ce dieu s'adresse aux hommes sous la forme d'un trinité ; la science. La tradition et l'Histoire : l'envers et l'endroit L'idée est que la vision que donne la tradition de la religion visée, l'appréhension suivant une vision universitaire, spécifique, pour le christianisme ; la tradition dit qu'au départ il y a le crédo, le dogme pur, immaculé intemporel, donné par le Christ puis Pierre aux fidèles, une vérité, la doxa, c'est une vérité, pour le croyant ca plus que tous le reste c'est une vérité absolue, elle est donnée par Dieu, le doute y est interdit. [...]
[...] Une généalogie de la vérité, et une de l'erreur, en 1934, Bauer orthodoxie et hérésie il a écrit un livre important, approche scientifique, sa thèse est de dire le schéma de l'Eglise est inversé, dans les années 50 à 100, le christianisme s'est développé de manière différentes en fonction des régions, des villes et même dans les mêmes villes en fonction du langage intellectuel utilisé. La doctrine prend un chemin différent, l'un des courants, qui est le majoritaire, développé à Rome devient l'Orthodoxie, c'est celui d'Irénée , ces minorités ont été vaincus en 250, jusqu'à cette période pour le grand courant c'est la grande église, le courant Chrétien gnostique leur fait face. [...]
[...] La doctrine du Christianisme : Ici une des pierres d'achèvement c'est la place de la formulation sur la parole divine, pour l'Islam du moins l'islam sunnite (majoritaire) la question est très simple, car cette posture est l'unicité de dieu, son message ultime a été transcrit par Mahomet le prophète qui est le dernier prophète qui clôt l'affirmation et cela n'appelle pas de commentaire, il y a eu d'intenses débats dans l'islam avant le 9e siècle, après la doctrine est devenue un élément qui n'appelle à un grand commentaire, sur la dimension juridique sur la normativité il va y avoir de grandes idées. Tous ce qui est la matière, science qui devient fondamental dans les savants musulmans n'attrait pas à la doctrine elle attrait à la loi. De même qu'il y a un seul Dieu, il y a une seule loi. La réalité est différente et plus prégnante, le droit en Islam est omniprésent. [...]
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