Religion, Le monde de la Bible cinquante ans après Vatican II, Dei Verbum, Christian Dionne, Vatican II, interprétation de la Bible, Constitution dogmatique, exégètes, théologie, église, Nouveau Testament
La Constitution dogmatique sur la révélation divine aussi appelée Dei Verbum a été votée dans les derniers jours du concile Vatican, c'est-à-dire il y a de cela cinquante ans puisqu'il a été promulgué le 18 décembre 1965. Face à ce texte, la question qui en découle est quelle a été l'interprétation de la Bible qui a pu en découler. Ce texte va traduire la nouvelle direction de l'Église, notamment en remettant l'écriture de la Bible au cœur de la vie des catholiques, et de cela découle un nombre important de résultats, de conclusions, et de bilans à effectuer. Il ne s'agit pas dans ce devoir de reprendre l'intégralité du travail effectué dans cette constitution dogmatique, mais d'en tirer les principaux points et aussi d'en avoir une approche critique.
[...] Outre, l'approche l'historico-critique qui est actuellement celle-là plus pratiqué, on peut par ailleurs distingué d'autres analyses telles que celle « sémiotique ou celle structurelle ou encore celle sociorhétorique . ». De même, on distingue de nombreuses approches encore plus importantes. Encore une fois, il n'est pas raisonnable d'établir une telle liste ici. On peut par exemple citer celle sociologique ou encore celle psychanalytique ou bien celle féministe. Autant d'approche sans doute qui permettent à tout un chacun d'être touché par l'interprétation des textes et qui permettre de répondre aux besoins du temps présent. [...]
[...] Pourtant, il ne faut pas faire de généralités en la matière certains auteurs réussissent à alors une interprétation qui porte un juste milieu. Par exemple Monsieur M Gourgues qui pratique l'approche l'historico-critique a su proposer des interprétations accessibles et en même temps liées à notre temps. Sur l'hyper spécialisation des exégèses également il existe un risque pour ce dernier de s'enfermer dans une vision étroite qui rend impossible l'interprétation large qui permettrait au contraire d'être accessible par tous. Ainsi ces derniers étant hyperspécialisés il y a un risque de manque d'ouvrage de synthèse. [...]
[...] Pour comprendre la Bible, il suffit d'avoir recours à l'Esprit saint ». Ainsi pour ces derniers Dieu étant sans pêcher, seule l'interprétation à la lettre doit être préconisée. Le fait étant que la conclusion qu'on peut en tirer est qu'une interprétation littérale est en elle-même une interprétation primaire. Les conséquences sont alors bien connues, d'une part la Bible ne devrait pas être traduite. Et en réalité ici on en revient à ce que l'Église voulait éviter à savoir ne pas partager la parole de Dieu aux athées. [...]
[...] Ne faudrait-il pas aujourd'hui effectuer une compilation un assemblage de ces recherches dans un seul ou plusieurs documents ? Cette critique qui est souvent faite est pourtant à relativiser. En effet, le but de ces études est de donner aux lecteurs des idées des textes qu'ils peuvent lire, ainsi qu'importe la méthode utilisée il est d'avantage important d'analyser les textes un à un et non de disposer d'un ensemble ce qui n'aurait pas tellement d'intérêt. Par ailleurs, un ouvrage plus court, davantage synthétisé suppose également une certaine vulgarisation. [...]
[...] Il y a ici donc de réelle perceptives pour les professionnels. En effet, si les étudiants ne disposent pas de connaissances il sera alors nécessaire pour les exégèses de les former afin qu'ils disposent de connaissances solides sur les piliers de la foi chrétienne. Le développement On peut donc voir que si la lecture est au cœur de la vie du chrétien, alors le constat peut être fait que l'Église a bien développé les moyens afin de transmettre se savoir et cette appropriation de la foi. [...]
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