Le vol de l'histoire, chapitre 9 - Jack Goody (2006) - L'Occident comme créateur de la démocratie

Thèmes abordés

Religion, Le vol de l'histoire, chapitre 9, Jack Goody, 2006, occident, orient, Histoire, démocratie, démocratie antique, humanisme, laïcité, valeurs universelles, sécularisation, anthropologie, individualisme, théologie

Résumé du document

Le texte présenté s'intéresse globalement à la religion, et plus précisément à des questions de démocratie, d'humanisme, de sécularisation, et de laïcité, qui sont des termes se rapportant à la religion entre le monde occidental et autre. Il y a l'idée selon laquelle l'Occident, mais aussi l'Orient, aurait des origines communes de démocratie antique avant l'apparition du christianisme. Dès lors, il y aurait eu après son apparition et son évolution au cours du temps, l'apparition de l'humanisme qui tend à placer l'homme au centre du monde, puis la sécularisation de l'État, permettant une approche des sciences plus profonde.

Extraits

[...] Le vol de l'histoire, chapitre 9 - Jack Goody (2006) - L'Occident comme créateur de la démocratie Objet du texte Le texte présenté s'intéresse globalement à la religion, et plus précisément à des questions de démocratie, d'humanisme, de sécularisation, et de laïcité, qui sont des termes se rapportant à la religion entre le monde occidental et autre. Il y a l'idée selon laquelle, l'occident, mais aussi l'Orient aurait des origines communes de démocratie antique avant l'apparition du christianisme. Dès lors, il aurait eu après son apparition et son évolution au cours du temps, l'apparition de l'humanisme qui tend à placer l'homme au centre du monde. [...]

[...] Le cinquième parle de la sécularisation de la société. Le sixième exprime le fait que malgré tout on observe le maintien de la religion dans la société, notamment avec les noms donnés (avec les Rois (Henri VIII)). Le septième paragraphe expose les objectifs de la sécularisation. Le huitième parle de la place de la religion dans le mouvement des Lumières. Le neuvième paragraphe, démontre l'exemple de la Chine, un pays avec une pluralité de religions, qui a permis un avancement des sciences. [...]

[...] Cela va à l'encontre de l'état d'esprit occidental, avec le principe de sécularisation. Ce texte se rapproche donc d'un point de vue disciplinaire à l'anthropologie, à la théologie, voire globalement de l'histoire et à la sociologie de l'État et, ou des religions. Construction du texte Le texte est écrit avec plusieurs parties ; trois, intitulées : « l'appropriation des valeurs, humanisme, démocratie et individualisme », puis pour la deuxième : « l'humanisme », et enfin pour a troisième : « humanisme et sécularisation ». [...]

[...] Effectivement, la mise à distance de la religion monothéiste chrétienne en Occident, au sein de l'État, a permis de nombreuses avancées dans les sciences. Enfin, il est question dans le texte, que malgré le fait que ces principes et valeurs-là occidentales, telles que l'humanisme, et la sécularisation de la société, elles ne sont pas nécessairement des valeurs universelles. Effectivement, selon le texte notamment au Proche-Orient, avec l'Islam, dans des pays comme la Tchétchénie ou l'Iran. En définitive, les valeurs d'humanisme, de sécularisation ne sont pas valables partout dans le monde. [...]

[...] D'autre part, il y a dans ce texte l'idée qu'il existe d'autres cultures qui sont différentes de celles occidentales et donc qui mènent à d'autres visions du monde, c'est par exemple le cas à la fin du texte lorsqu'il est question de religion et de laïcité au sein d'un état. La religion dissociée de l'État n'est pas un principe universel dans le monde (ex. : Iran, Tchétchénie). En outre, premièrement, il est question dans le texte que la démocratie n'est pas une valeur propre et originelle de l'occident, il y a aussi l'Orient. [...]