Le Chrétien dans sa relation avec Dieu, commet bien souvent le péché. Lequel péché le conduit vers l'Église en vue d'obtenir miséricorde et pardon par la confession. Cependant, il existe en plus de ce sacrement des pratiques pour recevoir le pardon de Dieu : Les indulgences. Qu'appelle-t-on indulgence et quelle est sa fonction dans la vie chrétienne ?
[...] Elle s'étendra à toutes les personnes âgées, aux malades et aux détenus. Les personnes âgées, malades ou ne pouvant pas se déplacer obtiendrons l'indulgence en recevant fa communion ou en participant à la Messe et à la prière communautaire, également à travers les médias et en vivant avec foi et espérance joyeuse ces moments difficiles. Quant aux prisonniers, ils obtiendront indulgence dans les chapelles des prisons et chaque fois qu'ils passeront la porte de leur cellule en adressant leur pensée et leur prière à Dieu. [...]
[...] La question des indulgences Le chrétien dans sa relation avec Dieu commet bien souvent le péché. Lequel péché le conduit vers l'Église en vue d'obtenir miséricorde et pardon par la confession. Cependant, il existe en plus de ce sacrement des pratiques pour recevoir le pardon de Dieu : les indulgences. Qu'« appelle-t-on indulgence et quelle est sa fonction dans la vie chrétienne ? L'indulgence est la remise devant Dieu de la peine temporelle due pour les péchés dont la faute est effacée, que le fidèle bien disposé, et à certaines conditions définies, obtient par le secours de l'Église qui, en tant que ministre de la Rédemption, distribue et applique avec autorité le trésor des satisfactions du Christ et des Saints qu'est-ce que cela veut dire ? [...]
[...] Mais, l'Église réaffirma l'importance des indulgences au concile de Trente. Elle accorde toujours des indulgences, toutefois la pratique en a été simplifiée en 1967, avec la constitution apostolique Indulgentiarum doctrina (la doctrine de l'indulgence), proclamée par le pape Paul VI, qui limita les motifs d'obtention des indulgences et abandonna les équivalences de durée. En clair, les indulgences se présentent comme la rémission accordée à un pécheur dans une circonstance et dans des conditions précises. Les indulgences pourraient se situer avec plus d'évidence dans un contexte de pardon, bienveillance, bonté, charité, clémence, compréhension, douceur, générosité, longanimité, mansuétude, miséricorde, patience, tolérance et non dans un contexte d'âpreté, cruauté, dureté, férocité, inclémence, rigueur, sévérité et austérité. [...]
[...] Qui accorde l'indulgence ? L'indulgence est accordée par l'Église après une confession. Le canon 995 du code de droit canonique le stipule de la manière suivante : Outre l'autorité suprême de l'Église, seuls peuvent accorder des indulgences ceux à qui ce pouvoir est reconnu par le droit ou à qui il a été concédé par le Pontife Romain ; Nulle autorité inférieure au Pontife Romain ne peut confier à d'autres le pouvoir de concéder des indulgences, à moins que cela ne lui ait été expressément concédé par le Siège Apostolique III. [...]
[...] Mais des peines temporelles demeurent. Les indulgences se présentent alors comme le moyen dont dispose l'Église pour effacer ces peines temporelles. Elles sont accordées à partir des mérites du Christ et des Saints : le Trésor des Mérites. L'Église retire donc les indulgences de ce Trésor et les accorde aux chrétiens dans cette vie présente ou au Purgatoire afin d'expier certaines ou la totalité (indulgences temporelles ou plénières) de leurs peines temporelles par des œuvres de miséricorde, de charité, la prière et différentes pratiques de pénitence jeûne, pèlerinage, etc.) Cependant, la question des indulgences a suscité de vives réactions dans l'Église depuis les premiers siècles. [...]
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