Le mariage chrétien est-il indissoluble ?

Résumé du document

L'auteur, très proche des choses de l'Eglise et de ses dérives a étudié au travers de la Bible et un peu de l'Histoire, ce qu'a été le mariage depuis la Création. Cette étude a révélé bien des surprises.

Extraits

[...] que, paradoxalement elle nie . puisqu'elle persiste à affirmer qu'elle n'est dans le mariage qu'un simple "témoin" . dont elle reconnaît qu'il est possible de se passer, mais qu'elle affirme être le seul à liciter l'union ! Allez-y comprendre quelque chose ! Cette usurpation ne peut qu'ajouter, s'il en est encore besoin, aux errements, aux hérésies spontanées qui, parce qu'elles paraissent procéder de bons sentiments sont acceptées par des gens simples qui ne discutent pas ce qu'imposent les papes, en dépit du bon sens, de la nature, de la morale, de Dieu ! [...]

[...] En affirmant sa détermination à revenir aux sources . elle ne fait qu'une partie du chemin . Entrer en conflit avec Rome devient de la routine, car dès que l'on cherche à expliquer son enseignement on ne peut trouver dans les textes divins la moindre référence et toutes ses exégèses sont des hérésies et des blasphèmes dès lors qu'elles ne trouvent pas d'assise biblique. En fait, il faut observer que dans le bouleversement en profondeur, dans le chamboulement total , dans la remise en cause des valeurs les plus sacrées, les libéralisations les plus inattendues, voire les plus scandaleuses ont été proposées et acceptées par le concile Vatican II dont l'autorité contestable facilite la croyance superficielle de bien des honnêtes gens qui ne cherchent pas plus loin ce qu'ils croient être la vérité ! [...]

[...] Le pape Paul VI disait d'ailleurs lui-même : "Les fumées de Satan sont entrées dans l'Eglise Triste constat pour celui qui se dit "Gardien des Écritures" ! Il est évident que le Concile "Vatican II" a voulu ce renouveau dans la perspective louable de retrouver l'Esprit de l'Évangile, la quintessence de l'enseignement du Christ, mais les adversaires de la réforme crient au scandale et n'hésitent pas à évoquer l'hérésie et l'illégitimité du pape ! Je n'envisage nullement de pratiquer ici une forme insidieuse de racolage, mais simplement d'exposer les faits tels qu'ils sont, à la lumière de la Bible, de l'Histoire, c'est-à-dire, de la Vérité et je ferai à travers les textes sacrés et à travers les textes documentaires une rétrospective de ce que fut le "mariage" sans autre prétention que d'en respecter son évolution au gré de toutes les déviations qu'il a subies depuis la Création pour arriver à ce qu'il est devenu en cette fin de XXI° siècle ! [...]

[...] L'Absolution Générale qui avait été l'exception pendant des siècles de catholicisme devient la Règle et la confession auriculaire, une certaine forme d'exception que l'église semble de plus en plus vouloir supprimer. On ne peut que s'en réjouir, car dans cette attitude évangélique, elle ne fait qu'appliquer les directives du Christ; le repentir sincère de ses fautes et l'aveu directement fait au Seigneur suffisent à un pécheur pour en obtenir le pardon accordé par un prêtre : "Les péchés seront remis à ceux à qui vous les remettrez. Ils seront retenus à ceux à qui vous les retiendrez." (Matt. [...]

[...] Rome n'est pas la vérité ! Alors qu'elle libéralisait l'ensemble de sa pastorale et quand par ailleurs tout se relâchait, elle persistait à renforcer ses interdits dans le domaine de la vie familiale, de la vie sociale en s'immisçant plus que de raison et sans la moindre charité dans les dispositions du mariage dont elle affirmait solennellement l'indissolubilité, envers et contre les Saintes Écritures ! Aussi, par simple souci d'honnêteté, poussé par un évident soupçon de curiosité, mais surtout animé par le besoin de faire éclater la Vérité dont ma qualité épiscopale me fait garant , je vais rechercher avec vous pourquoi l'église papiste, dès qu'il est question d'intimité, de sexe, il faut le dire, refuse d'y reconnaître l'Oeuvre de Dieu et se mobilise pour rendre malsain un aspect naturel de la vie végétale, animale et humaine, bien sûr ! [...]