Superstition, Religion, catholicisme, dieu, diable, bien et mal
Avoir une superstition c'est se moquer de Dieu. Pourquoi ? Il est bête de croire que Dieu ne fait que reposer son avis simplement sur le fruit du hasard. Ce serait croire que Dieu n'a pas d'avis et qu'il préfère ne pas travailler à en avoir. Dieu ne saurait être trompé par tel ou tel phénomène, puisqu'il est censé tout contrôler. Qu'une chose lui échappe alors que tout jugement venant de lui est préenregistré n'est pas convenable (c'est un être universel et sa voie est impénétrable). Dieu n'est pas une épée en dessous de laquelle se situerait notre tête. Il est magnanime. Il ne faut pas avoir peur de Dieu en permanence comme le ferait un enfant qui ferait mine avec sa tête d'échapper à une claque qui n'existe pas. Vivre dans la crainte permanente n'est pas faire confiance à Dieu, c'est se méfier de Dieu d'être dans un tel état. Que Dieu donne au hasard une aussi grande importance est pour le moins suspect et au pire injurieux envers Dieu.
[...] En effet, il est nécessaire d'être en paix avec soi-même et surtout d'user de sa liberté d'esprit et non ne pas être sous pression pour accéder à la communion parfaite avec le sacré. Le visage du Diable Dieu ne se subordonne pas aux superstitions. Il n'attend pas qu'un phénomène se décide pour s'aligner sur lui. Dieu n'est pas impuissant car c'est le Tout Puissant. Ce n'est pas le phénomène qui prend la décision et Dieu qui la ratifie ou l'exécute. Ce serait lui faire injure de dire cela. [...]
[...] Comment interpréter la superstition du point de vue de la religion catholique ? Méconnaître Dieu Avoir une superstition c'est se moquer de Dieu. Pourquoi ? Il est bête de croire que Dieu ne fait reposer son avis simplement sur le fruit du hasard. Ce serait croire que Dieu n'a pas d'avis et qu'il préfère ne pas travailler à en avoir. Dieu ne saurait être trompé car tel ou tel phénomène puisqu'il est censé tout contrôler. Qu'une chose lui échappe alors que tout jugement venant de lui est pré-enregistré n'est pas convenable (c'est un être universel et sa voix est impénétrable). [...]
[...] C'est opter pour la fausse bonne idée : la facilité. Mais la facilité ne permet pas d'atteindre la félicité. D'autre part, les superstitions sont des lieux communs qui sont souvent partagés par l'ensemble des personnes. Les mettre en avant c'est avant tout se mettre dans la poche les personnes qui nous entourent et ne pas entrer dans les détails des enseignements de la religion. Dès lors, c'est éviter de s'exposer sur des questions qui seraient susceptibles d'être incomprises ou mal abordées par l'individu qui met en avant une superstition. [...]
[...] En vérité, Dieu ne sanctionne personne. Le destin comme on le nomme n'est pas le fait de Dieu. Dieu est omniprésent oui mais en arrière-plan. C'est-à-dire que toutes les conditions de vie possibles et inimaginables sont le terreau fertile si l'on y voit clair de la connexion avec le divin et le bonheur intégral. En résumé, la vie nous donne tous les jours l'occasion de nous grandir, de s'élever pour toucher l'imperceptible, l'immuable. Rétrograder Dieu et penser qu'il intervient dans le monde d'en bas et dans la vie quotidienne est une pure idiotie et penser cela dévalorise Dieu. [...]
[...] C'est reconnaître de ce fait la supériorité du Diable. Dans le premier cas, c'est une personnalité Dieu prend les airs du diable (on pourrait même croire en un traquenard si les conséquences n'étaient pas aussi lourdes). Dans le second cas, Dieu occupe une fonction/ un poste (il fait quoi et un statut (il se situe où par rapport à qui Lequel des deux cas serait le plus néfaste ? On peut dire qu'il est plus facile de changer de personnalité que de changer de statut ou de fonction. [...]
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