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L'avortement se définit comme l'interruption volontaire ou non d'une grossesse.
Cependant, ce qui nous est donné de constater, c'est que c'est cette option préférentielle de l'interruption volontaire d'une grossesse qui tend à s'ériger en norme de société, au point où certains Etats en ont fait une loi.
[...] En somme, il convient de retenir qu'aucune raison ne justifierait la pratique de l'avortement. L'Église reste ferme sur sa décision de protéger la vie, quelle qu'elle soit : Tu ne tueras pas l'embryon par l'avortement et tu ne feras pas périr le nouveau-né. Et sur cette lancée, nombreux sont les écrits des Papes, des évêques, des prêtres qui ne tarissent sur ce sujet, c'est dans cette optique que Mère Theresa invite tout un chacun à être défenseur de la survie de l'embryon relégué à une chose et non à un être humain. [...]
[...] L'avortement direct, c'est-à-dire voulu comme une fin ou comme un moyen est gravement contraire à la morale. En outre, la pratique de l'avortement en cas de viol est une grave erreur qui implicitement signifierait commettre une injustice à l'égard d'un innocent, qui ignore les situations qui ont suscité sa venue au monde. Les conséquences de l'avortement Les femmes ayant subi ce genre de traumatismes sont prises en charges par diverses Organisations et Associations, afin de les accompagner pendant leur grossesse et de trouver des familles d'accueil pour leur futur enfant, par ailleurs, la pratique de l'avortement, il faut le noter, n'est pas sans conséquence graves ; tant au plan physique que psychologique. [...]
[...] L'avortement et l'église La position de l'église L'avortement se définit comme l'interruption volontaire ou non d'une grossesse. Cependant, ce qui nous est donné de constater, c'est que c'est cette option préférentielle de l'interruption volontaire d'une grossesse qui tend à s'ériger en norme de société, au point où certains États en on fait une loi. Cette pratique, malgré toutes les justifications possibles, n'est pas loin d'être perçue comme une injustice faite à l'enfant à naître. Sur cette question de la protection de l'enfanta naître, la position de l'Église est claire : la vie humaine doit être respectée et protégée de manière absolue, depuis la conception jusqu'à la naissance Dès le premier moment de son existence, l'être humain doit se voir reconnaître les droits de la personne, parmi lesquels, le droit inviolable de tout être à la vie. [...]
[...] Dieu étant seul maître de la vie, personne ne doit revendiquer le droit de vie ou de mort : sur un être qu'il considère inférieur à lui. Dans ce contexte, L'Église se veut être la voix des sans voix ; et sur toutes les questions qui touchent l'homme, encore moins sur celles relatives aux plus faibles. L'enfant à l'état embryonnaire est d'une vulnérabilité qui ne peut laisser l'Eglise indifférente. C'est pourquoi : Depuis le premier siècle, l'Église a affirmé la malice morale de tout avortement provoqué. Cet enseignement n'a pas changé, il demeure invariable. [...]
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