– Les cultes émisptères, monde de l'individu ? On note qu'il y en a plus, les cérémonies au IIIème siècles, à Délos. Nouvelles préoccupations ? A cette époque là, c'est douteux, en effet le rôle religieux est souvent insinué par le statut social. La vie religieuse des grecs s'est trouvée modifiée par l'arrivée de nouveaux dieux étrangers. Questions posées à l'oracle = Dodone ( bruissement des chèvres ) portent sur : sur les affaires, le négoce, profit, famille, descendance, fidélité … Vie religieuse contribue à la mobilité des grecs par le biais de fêtes locales, fédérales ou panhelléniques. Les concours stéphanites sont rejoints par des nombreux concours au IIIème déclarés égaux en honneurs que les jeux olympiques ou pithiques. Diffusion de ces concours, de ces jeux religieux. Les Ptolémaia d'Alexandrie, à Delphes les Sôteira, à Magnésie du méandre des concours en l'honneur d'Artémis … Il y a des épreuves gymniques, hippiques et musicales. Tout cela se fait sous l'égide du religieux. Les fêtes = les théoriales : sont des fêtes annoncées longtemps à l'avance avec des théores qui parcourent les empires pour annoncer la date, la proclamation d'une trêve est nécessaire, pour faciliter les déplacements, ils sont accueillis dans chaque cité par le théorodoc et on recrute les concurrents.
[...] Succès des héros guérisseurs : premier roi thaumaturge. Asklépios dieu, patron des écoles de médecine, Amphiaraos, chaque cité a son sanctuaire consacré à Asklépios, sanctuaires d'incubation ou séjournent les malades en attendant la guérison divine, on peut penser que ca joue un rôle, guérison pas seulement physique, mais offrandes montrent remerciements à Apollon, à Zeus . libère les esclaves. Cela indique une nouvelle religion ? Désaffection évidente à l'égard de l'efficacité des religions traditionnelles. Processus de syncrétisation ( = fusion de plusieurs dieux Artémis en Orient. [...]
[...] La religion dans l'antiquité La vie religieuse ne se limite pas au cadre civique. Immortalité question récente mais importante, souvenir que l'on laisse. Lien personnel à la divinité, dans quelle mesure la religion a t'elle pu être un ? Plusieurs points : La présence obsédante de la notion de fortune = Tyché ( chance, destin, hasard L'astrologie est aussi populaire, pratiques magiques, tablettes d'envoutements apparaissent comme un moyen de contourner l'ordre naturel et divin, et de tout manipuler à son bénéfice individuel. [...]
[...] Les rois favorisent son culte, non lié à la politique. - 274, fête organisée par Ptolémée à Alexandrie. On le voit à Athènes, Pergame, Corinthe, en Asie Mineure . Isis et Sérapis, grecs impressionnés par la vitalité religieuse égyptienne, le culte d'Isis se répands dans tout l'Empire Romain. Osiris dieu du royaume des morts. Premier dieu : Sérapis = création artificielle, rependu, c'est Ptolémée sautère qui procède à un syncrétisme, et inculque à ce dieu des traits qui sont ceux d'Osiris, Zeus, Poséidon, osore, hâpi. [...]
[...] Eléments de diffusion de la religion grecque. Religions mystiques, parfois violentes dont on se méfie en Grèce classique. Les dieux qui surnagent dans ce monde:Askiopos devient un dieu consolateur, directeur de conscience, magicien, mis en rapport avec Sérapis en Egypte et parvient à Rome en -293 sous forme de serpent sacré. Zeus protecteur de cités, gardien des lois, garant des serments, les grecs installés en Asie mineure donne son nom au dieu local, adoré comme Bahal, en Syrie comme Bahal shamine Zeus kéraunos, Zeus Ouranos, Zeus sautère . [...]
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