héritage, premières religions, judaïsme, sionisme, christianisme, Coran
L'homme se différencie de l'animal par sa croyance dans le surnaturel qui se manifeste, dès l'homme de Neandertal par des pratiques de sacrifice, une relation particulière entretenue avec la nature et les animaux ou encore l'enterrement des morts, les offrandes ou le Shamanisme.
Les grandes religions actuelles ont des liens avec les premières religions qui ont marqué l'apparition du sentiment religieux qui est né d'un double questionnement : on se demande où vont les morts et d'où viennent les enfants ? (mort et naissance).
[...] Par exemple, le Coran donne des conditions importantes pour la polygamie, il encourage à la libération des esclaves. Wahhabisme : variante fondamentaliste de l'islam, rêve d'une théocratie totale (Arabie saoudite). Pays avec le plus grand nombre de musulmans : Indonésie qui abrite un islam éclairé qui donne des droits aux femmes, forme d'islam moderne. [...]
[...] Le Coran est d'abord une lecture qui a été mise par écrit après la mort du Prophète, sous le 2e Calife Omar. Le 3e calife, Othman, décide de donner le nom de vulgate coranique au coran officiel. Ordre des textes : les dernières sourates sont les 1ères révélations. Les Révélations sont faites au prophète par petits bouts, les plus longues sourates ont été mises au début. C'est donc l'ensemble du Coran qui fait l'unité de sens. Il n'y a pas de chronologie ni de biographie de Mahomet qui est cité seulement 4 fois dans le Coran. [...]
[...] Les juifs ont été les premiers à faire survivre le monothéisme à cette époque. Le judaïsme, c'est un peuple, un dieu et une terre. Le judaisme est clairement inséparable de cette Terre d'israël que Dieu dit à Abraham de rejoindre : le rapport à la terre est problématisé sans cesse. Le temple de Salomon a été construit pour abriter l'arche d'alliance - qui contient les 10 commandements - à l'emplacement du sacrifice d'Abraham, c'est-à-dire, au cœur de Jérusalem qui symbolise à la fois l'unité religieuse, éco et politique (Jérusalem se trouve en Judée). [...]
[...] Aujourd'hui, les juifs se sont détournés des pratiques traditionnelles. La Bible reste un texte de référence pour leur culture. Le sionisme Le terme de Sionisme a été donné par Birnbaum, Sion était le nom de la colline de Jérusalem où Abraham sacrifia le bélier, c'est la terre d'Israël et le isme signifie la concrétisation de cette nostalgie sous la forme d'une action : le retour à la Terre. Mouvement sioniste du 19e, lancé par Herzel, qui réclame le retour à Israël est un projet à la base laïc et auquel de nombreux religieux juifs sont hostiles. [...]
[...] La Question de la mort : l'inhumation des morts, pratiquée dès - BC, montre le souci de l'au-delà. Le Culte des morts et l'enterrement reviennent à dire que lorsque le mort est sous terre, il ne viendra plus nous déranger sur Terre : il n'y a rien de pire qu'un mort qui se venge auprès des vivants. Ex : Au Mexique, les chrétiens passent une journée sur les tombes des défunts afin de leur rendre hommage. La Question de la naissance est longtemps demeurée un mystère et l'on pratiquait le culte de la fécondité avec des Statuts de déesses-mères, telle que Vénus. [...]
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