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En partant de la loi, qu'est-ce qu'une loi divine ? La divinité comme origine ou propriété ? En partant de Dieu, qu'a de plus un dieu législateur ? Rapport au divin ? Quelle religion ?
Les sociétés avec une loi divine : soumission, adaptation, interprétation +/- créatrice ? Quel passage entre l'ancienne loi divine et la nouvelle loi humaine ? (Évolution expliquée par Max Weber avec le concept de loi sacrée)
La loi divine lie et sépare la triple articulation religion-philosophie-politique. (Il faut remonter plus loin que l'invention de l'écriture en -3000 et dépasser la focalisation européenne).
L'étude des sources que sont Jérusalem (textes sacrés) et Athènes (philopolitique). Une ou deux sources ? Les deux visions sont liées (Nietzsche, Fichte, Spinoza…)
Séparation de l'Église et de l'état : concept étonnant. Laïc signifie littéralement peuple en tant que peuple de Dieu, appelé à une dignité particulière. Profane plus juste : devant la porte du temple. Cette séparation suppose l'existence de l'église (mais antiquité, peuple juif et nation islamique sont à la fois politiques et religieux).
Théio-politique ou Théo-politique ? (Divin ou divin sortit de sa neutralité pour devenir Dieu ?)
[...] Il légitime l'autorité de certains Hommes : Il s'attaque aux opposants de Mahomet (infaillibilité) La légitimation des pouvoirs dans les textes sacrés Le Coran offre une concrétisation d'une promesse eschatologique « les justes posséderont la terre » dans le contexte de la naissance de l'islam : il légitime les conquêtes. Le nouveau testament place Jésus comme envoyé, et le Père souffre ce que Jésus souffre. Mais la promesse de son règne (Jugement, ref. aux juges) est uniquement eschatologique. Il recommande l'obéissance au dirigeants (chrétiens ou non, même persécuteurs.) LA SUITE DES TEMPS I. Religions mères et religions filles La question ne se pose pas pour le judaïsme (pas de textes antérieurs). [...]
[...] La philosophie politique juive a pour but le bonheur véritable. Comme le philosophe adapte son discours au public, Dieu adapte ses commandements à ce qui est acceptable pour son peuple pour le rendre heureux La Kabbale L'objectif était de combattre la trop grande rationalité des philosophes aristotélisant. Les récits y ont une plus grande importance que les lois. Une des explications de la Kabbale montre que le symbole prend sens dans l'accomplissement du commandement : elle permet l'appropriation en profondeur de la loi sans compromettre le caractère définitif de son obligation. [...]
[...] La loi qui règle la cité est omniprésente parmi les hommes. Une cité vertueuse suivant la loi divine musulmane est conçue. Averroès critique néanmoins la mise en place concrète de cette cité Le législateur Les philosophes de l'Islam médiéval considèrent la loi divine comme cosmologique (supportant l'univers). Ils appelèrent divin ce qui permettait à la cité de se développer (SCANDAALE). II. La loi comme fin : le judaïsme 1. Le recentrage sur la Torah En 70, après l'échec d'une révolte juive contre les romains, recentrage sur la Torah : une forte piété aida à la mise en place d'un système complet de lois, la halakha. [...]
[...] NB : Islam ( débuts guerriers et suite pacifique, commerciale et créative, christianisme(début pacifique dans la société romaine puis extension militaire. LES PENSEES MEDIEVALES DE LA LOI DIVINE I. Les fins de la loi : l'islam 1. La loi omniprésente et invisible L'islam pense le rapport à Dieu de l'homme comme réglé par la prophétie, culminant dans le don d'une loi, donc obéissance (pas naturelle, révélée). Elle est pourtant en un sens naturelle (tout homme naît musulman). Une apologétique fut construite. [...]
[...] Les conditions historiques de l'alliance 1. Israël Israël n'eut qu'une rare expérience d'un Etat. On décrit sa situation comme une anarchie. Le passage du juge au roi (échec), par Saül puis David laisse une nostalgie du désert et du temps des juges (antiétatique, hommes libres) en même temps qu'une conscience de cet « Etat » perdu, laissant place au rêve messianique Le Christianisme Ce sont d'abords de petites gens exerçant en marge des activités caritatives. Ils subissent des persécutions de la part de juifs puis des romains. [...]
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