En 2013, Sayyed Ali Samadi et Roy McConkey ont publiés deux études sur la détection de l'autisme en Iran chez les enfants de 3 à 16 ans[1]. La première utilisa le Gilliam Autism Rating Scale (GARS 11), la deuxième l'Autism Diagnostic Interview - Revised (ADI-R). Cependant, le bassin initial d'éléments fut tiré des comportements qui définissent l'autisme internationalement selon le DSM-IV et le ICHD-10.
[...] Le test Stanford Binnet a lui été traduit et standardisé pour une utilisation en arabe avec une bonne fiabilité et la validité par Abdel Hamid en 2002. Enfin le Vineland adaptive behavioral scale fut également testé avec succès dans plusieurs pays arabes par Sparrow, Balla, et Cicchetti. Les auteurs de cette étude ont trouvé ces tests largement approprié à leurs populations. Ils concluent que seules les parties relative à la réciprocité sociale et émotionnelle pourrait être à revoir. Ils ont finalement notés très peu de variances dans les manières qu'ont eu les cultures égyptienne et saoudienne de recevoir ces tests. [...]
[...] Récemment, la maison d'édition WPS en a racheté les droits. Le M-CHAT-R peut quand à lui être administré et noté dans le cadre d'une visite de puériculture, et peut également être utilisé par des spécialistes ou d'autres professionnels agréés pour évaluer le risque de TSA. L'objectif principal du M-CHAT-R est de maximiser la sensibilité, c'est-à-dire de détecter autant de cas de TSA que possible. Il y a par conséquent un taux élevé de faux positifs, ce qui signifie que tous les enfants qui obtiennent des résultats à risque ne recevront pas un diagnostic de TSA. [...]
[...] Dépistage de l'autisme dans les pays arabophones En 2013, Sayyed Ali Samadi et Roy McConkey ont publiés deux études sur la détection de l'autisme en Iran chez les enfants de 3 à 16 ans. La première utilisa le Gilliam Autism Rating Scale (GARS la deuxième l'Autism Diagnostic Interview - Revised (ADI-R). Cependant, le bassin initial d'éléments fut tiré des comportements qui définissent l'autisme internationalement selon le DSM-IV et le ICHD-10. Dans le cadre de la première étude, un premier auteur a traduit l'outil d'évaluation GARS II de l'anglais vers le persan. [...]
[...] Deux traducteurs indépendants ont travaillé à la traduction de la version anglaise des échelles en arabe; puis le document fut traduit de nouveau (arabe-anglais) par deux autres traducteurs. La version arabe des échelles a été révisée et éditée par trois psychologues, avant que la version arabe finale ne soit approuvée par le Western Psychological Services (WPS). Le problème que soulève ce cas de figure est que non seulement les frais de traduction du protocole sont à la charge de la AUB-MC, mais qu'il eu fallu en plus payer des droits d'auteurs à WPS pour utiliser cette même traduction. [...]
[...] Enjeux économiques de la traduction et des droits d'auteurs Les maison d'éditions Pearson US et HOGREFE maintiennent de gros contrat en cours avec les éditions Liban test. Certaines maisons d'éditions ont le monopole, et facturent leurs tests à des prix inaccessibles aux universités ou aux petits laboratoires de recherches. Ainsi, une certaine partie de la recherche se cantonne aux outils libre de droits. HOGREFE par exemple, l'exclusivité des outils ADOS-S et ADI-R. L'achat combiné de ces deux outils (leurs achats séparés ne faisant pas sens) de détection de l'autisme fait grimper la facture à près de 6000Euro. [...]
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