Théories de la construction des tests - Analyse de la fiabilité et de la validité globale

Thèmes abordés

Test psychométrique, méthode du split-half, fiabilité d'un test, méthode de test-retest, méthode de bissection, analyse factorielle, Kappa de Cohens, méthode de Spearman-Brown, Alpha de Cronbach, validité d'un test

Résumé du document

La fiabilité et de la validité sont les deux critères de reconnaissance d'un test psychométrique, et doivent donc être construites, calculées et certifiées lors de son élaboration.
D'une part, la fiabilité d'un test représente la cohérence des résultats obtenus en fonction de la population, du trait mesuré et des caractéristiques mises en avant, précisant ainsi sa reproductibilité. Ce critère comporte diverses méthodes de calcul.
D'autre part, la validité d'un test fait référence à sa capacité de mesurer convenablement, c'est-à-dire de manière précise et juste, la ou les manifestations externes que les chercheurs élaborant le test ont pour objectif de mesurer. Il existe plusieurs types de validité, et celles-ci doivent être examinées afin d'assurer la validité globale.

Extraits

[...] x x x x ∑xi ∑ ∑xi ∑xi ∑xi ∑xi ∑xi Moyenne 1∑xi / n 1∑xi / n 1∑xi / n 1∑xi / n ∑ (∑xi) σ √ ((∑ni=1 ⎮xi - 𝜇 ⎮2) / √ ((∑ni=1 ⎮xi - 𝜇 ⎮2) / √ ((∑ni=1 ⎮xi - 𝜇 ⎮2) / √ ((∑ni=1 ⎮xi - 𝜇 ⎮2) / √ ((∑ni=1 ⎮xi - 𝜇 ⎮2) / σ2 σ2yi σ2yi σ2yi σ2yi σ2x 𝛒xx' 𝜶 (67 / 67 - 1)*((σ2x - ∑ni=1 σ2yi) / σ2x) Interprétation de la fiabilité globale Afin d'interpréter au mieux la fiabilité globale d'un test psychométrique, il est nécessaire de se référer aux appréciations préalablement établies par la communauté de recherche. Afin que l'instrument soit jugé comme fiable, il est nécessaire la valeur 𝛒xx' soit supérieure à 0.70. [...]

[...] Théories de la construction des tests - Analyse de la fiabilité et de la validité globale La fiabilité et de la validité sont les deux critères de reconnaissance d'un test psychométrique, et doivent donc être construites, calculées et certifiées lors de son élaboration. D'une part, la fiabilité d'un test représente la cohérence des résultats obtenues en fonction de la population, du trait mesuré et des caractéristiques mises en avant, précisant ainsi sa reproductibilité. Ce critère comporte diverses méthodes de calcul. [...]

[...] De plus, à l'instar du test précédent, l'effet de familiarité n'impactera pas les résultats. Bien entendu, il existe d'autres méthodes de vérification de la fiabilité d'un test psychométrique, telles que notamment l'analyse factorielle des items qui permet d'évaluer la cohérence interne des items. De plus, plusieurs coefficients peuvent être dépendant des caractéristiques du test. Nous pouvons nommer le Kappa de Cohen dans le cadre de mesures catégorielles, la méthode de Spearman-Brown également utilisée lors de la correction des corrélations pour la méthode du split-half expliquée précédemment, l'Alpha de Cronbach ou les formules de Kuder-Richardson. [...]

[...] Il est cependant nécessaire que la fiabilité globale soit élevée dans le cadre de la discrimination entre différents groupes. Par ailleurs, le type de test peuvent engendrer des taux de coefficients plus ou moins acceptables, cela dépendra principalement de l'objectif du test psychométrique. Par exemple, les tests de QI affichent généralement des fiabilités de 0.90, tandis que les tests de personnalité nécessitent des fiabilités dépassant 0.70. Les tests de créativité étant plus difficiles à construire peuvent être validés avec une fiabilité dépassant un coefficient de 0.50, tandis que les tests projectifs, tels que le Rorschach, présentent souvent des fiabilités basses. [...]

[...] Ensuite, nous observons que les valeurs de coefficient inférieures à 0.70 peuvent contenir de l'information utile, mais la correction et l'arrangement des items est nécessaire. Finalement, les valeurs inférieures au seuil de 0.50 sont considérées comme inutilisables et peu pertinentes pour l'évaluation globale. Il est important de rappeler que les mesures de la fiabilité ne sont pas sans limites. En effet, plusieurs auteurs que des coefficients relativement bas sont tolérables, mais uniquement dans les premières étapes de la construction du test. Par exemple, des auteurs tels que Caplan, Naidu et Tripathi (1984) considèrent des coefficients de 0.50 comme suffisants lors des premières étapes. [...]