Ce document est une réflexion structurée qui porte sur la névrose définie comme une affection psychogène où les symptômes sont l'expression symbolique d'un conflit psychique trouvant ses racines dans l'histoire infantile su sujet et constituant un compromis entre désir et défense.
[...] Freud S. (1895) : « Mécanisme des représentations de contrainte et des phobies », trad. fr. sous la dir. de J. Laplanche, in S. Freud, « Œuvres complètes », Paris, puf t. III. Freud S. (1896 : « L'hérédité et l'étiologie des névroses », trad. [...]
[...] (1957) : « Envie et gratitude », Paris, Gallimard. Lacan J. (1953) : « Le mythe individuel du névrosé », ou « Poésie et Vérité » dans la névrose, Conférence au Collège philosophique, in Ornicar, 17- Laplanche J. et Pontalis J.-B. (1967) : « Vocabulaire de la psychanalyse », Paris, puf. Jean Bergeret (psychanalyste) : « La personnalité normale et pathologique », éd. Dunod, 3e édition Elisabeth Roudinesco et Michel Plon : « Dictionnaire de la psychanalyse », Paris, Fayard, coll. « La Pochothèque » (1re éd. [...]
[...] Sommes-nous capables de les identifier ? La tâche est importante et mérite une attention particulière. Bibliographie Amado Levi-Valensi E. (1981) : « Pensées et obsession », in « Confrontations psychiatriques » 163-180. Freud A. (1946) : « Le Moi et les mécanismes de défense », trad. Fr, Paris, puf p. Freud S. (1894), « Obsessions et phobies », trad. Fr. [...]
[...] Les philosophes comme Kierkegaard puis Heidegger ont été de grands penseurs de l'angoisse, et leurs travaux ont préparé les modes de pensées à envisager l'angoisse sous un autre jour, mettant en lumière les écrits de Freud. L'angoisse apparait sans objet, et semble être l'affect de la finitude. Peut-on imaginer que nous connaissons tous la névrose d'angoisse ? L'image de la mort est aussi parlante, on ne l'envisage que comme une séparation d'avec soi-même, l'objet véritable de la mort est la perte, la mutilation d'une partie de soi ; bien que l'on identifiera jamais ce qui est le plus effrayant pour l'être humain : la perspective de sa mort ou celle de la mort de l'autre. [...]
[...] La « névrose hystérique » se caractérise par un besoin constant de plaire, d'être apprécié, de devenir le point central de l'attraction. Ces troubles sont étudiés depuis longtemps, et soulignent la nature sexuelle du trauma initial. Enfin, les « névroses paranoïaques », qui atteint les individus convaincus que chaque évènement de leur vie fait partie d'un complot destiné à leur nuire. Depuis quelques dizaines d'années, suite aux différents conflits de par le monde et par rapport aux actions terroristes, l'état de stress post-traumatique est pris en compte. [...]
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