Psychologie sociale, effet d'assimilation, estime de soi, comparaison descendante, handicap intentionnel, biais d'autocomplaisance
Ce document propose plusieurs questions corrigées en psychologie sociale, dont voici quelques exemples :
- Qu'est-ce que l'effet d'assimilation ?
- Pourquoi l'effet d'assimilation pourrait être une des causes à l'origine du problème de l'intégration des immigrants au marché du travail québécois ?
- Qu'est-ce que le concept de soi et l'estime de soi ?
- Quels effets pourraient avoir les comparaisons descendantes, le handicap intentionnel et le biais d'autocomplaisance sur l'estime de soi de certains élèves de faible niveau scolaire ?
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[...] Mais aussi le concept d'elle, peut être définie par le fait, que ses parents savent qu'ils ont des origines cap verdiennes, elle peut avoir grandi dans une petite ville ou dans une grande ville, ce qui influencera grandement sa culture et aussi elle peut s'associer à la communauté LGBTQI+ dans certains évènements ou vivre son homosexualité en dehors de toute communauté, parce qu'elle sait qu'elle est attirée par les femmes ou parce qu'elle a expérimenté des relations avec d'autres femmes. L'estime de soi correspond à la manière dont une personne se perçoit et se valorise, s'ils s'aiment ou ne s'aiment pas, s'ils se valorisent ou se dévalorisent. L'estime de soi est essentielle pour le bien-être psychologique des individus. [...]
[...] Explication de concepts en psychologie sociale Lycée - Devoir psychologie L'effet d'assimilation correspond selon la définition de Mc Garty donné en 1999 au fait de surrestimer la ressemblance des éléments appartenant à un même groupe qui se différencie de nous et des groupes auxquels nous appartenons. C'est-à-dire que nous pensons que les membres de notre groupe sont plus différents entre eux, que les membres d'un autre groupe qui auraient tous les mêmes caractéristiques. En effet, d'après les recherches en psychologie, on a tendance à penser dans un groupe donné qu'on est tous différent alors que dans un groupe différent du notre, ils se ressembleraient tous entre eux. [...]
[...] Par exemple, une personne qui s'estime va avoir plus de facilité à se relever après un échec. Par exemple, si je fais face à un échec professionnel, je n'en déduis pas de fait que je ne vaux rien professionnellement. J'accepte que les échecs font partie de la vie et j'accepte aussi que je peux avoir eu des réussites. L'échec ne définit pas ma valeur personnelle et professionnelle. Les comparaisons descendantes consistent à se comparer à des personnes qui ont plus faible niveau que soi dans un domaine donné. [...]
[...] Le handicap intentionnel, cette fois-ci correspond au fait de s'auto-saboter ses performances pour ne pas paraître plus fort que les autres. C'est une stratégie adoptée par l'inconscient pour ne pas être rejetté et pour garder des bonnes relations avec les autres. Par exemple, je suis un mauvais élève mais dès que j'ai une bonne note, j'ai tendance à être regardé par les autres et donc à me différencier d'eux. Je peux avoir tendance à me saboter, pour paraître plus cool aux yeux des autres et ainsi me situer dans la moyenne voire dans la médiocrité pour partager avec eux le même sentiment dans une situation scolaire et donc être valider par eux. [...]
[...] Cela peut être une manière pour les élèves de faible niveau scolaire de se protéger inconsciemment, si cela peut s'avérer de manière immédiate satisfaisant pour leur estime de soi, à plus long terme cela peut-être contre-productif car ils peuvent être confrontés à de nombreux échecs et ne pas reconnaître qu'ils ont certaines lacunes à combler. En résumé, ces façons de faire peuvent aider les élèves qui ont des difficultés à l'école à se sentir un peu mieux dans leur peau, mais en même temps, elles peuvent les empêcher de comprendre ce qu'ils doivent vraiment améliorer et de développer de meilleures habitudes d'apprentissage. [...]
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