La publicité, « action de rendre public » ou « état de ce qui est public » a pris le sens moderne d'« ensemble des moyens utilisés pour faire connaître au public un produit, une entreprise industrielle ou commerciale » vers 1830. Cette date lie donc le développement de la publicité à celui de l'industrialisation et à l'essor des marchés de grande consommation.
On note une évolution de la publicité. En 1879 elle était représentée sous forme d'annonces dans les journaux, d'affiches ou de prospectus ; aujourd'hui elle propose un ensemble de communication de masse (télévision, radio, Internet, wap, etc...) destinées à faire connaître un bien, un produit ou un service et d'inciter le public à l'acquérir (...)
[...] Elles ont relevé une réaction de rejet de la nudité des participantes femmes, présentée par divers arguments : la représentation des parties du corps, l'irrationalité de la situation qui n'est pas proche de la réalité des femmes dans leur vie quotidienne, le renvoi à la sexualité, la perception de la volonté de manipulation, les femmes sont considérées comme dépersonnalisées femmes objets Les auteurs ont mis en évidence 4 facteurs de rejet ou d'acceptation de la nudité. Tout d'abord, la peur du sexe, les publicités sont mieux acceptées lorsqu'elles sont moins sexualisées. [...]
[...] On note une évolution de la publicité. En 1879 elle était représentée sous forme d'annonces dans les journaux, d'affiches ou de prospectus ; aujourd'hui elle propose un ensemble de communication de masse (télévision, radio, Internet, wap, etc. ) destinées à faire connaître un bien, un produit ou un service et d'inciter le public à l'acquérir. La publicité est une technique largement empirique qui emprunte des connaissances à l'économie, à la sociologie et à la psychologie, et qui teste ses intuitions sur les études de marché. [...]
[...] Intensité du choc ressenti lors de l'exposition aux publicités. [...]
[...] On a donc dans cette étude un plan factoriel qui permet d'étudier l'effet direct des variables et leur interaction, en effet on étudie l'état de choc suite à l'exposition à de telles publicités auprès des hommes et des femmes en fonction du produit vendu dans la publicité. Il est rare et inutile que l'on puisse étudier exhaustivement une population car on ne peut interroger qu'un nombre restreint de personnes. J'ai donc sélectionné un échantillon représentatif qui reflète au mieux la structure de la population totale. Pour cela j'ai effectué un tirage empirique par la méthode des quotas, en sélectionnant 10 hommes et 10 femmes pour chacune des trois publicités, on obtient donc un échantillon de 60 personnes (n=60). [...]
[...] Avec le recul, on constate que la persuasion publicitaire s'est inspirée de la psychologie sociale. Diverses théories se sont succédées dans le temps ; en passant de la conception d'une audience passive, avec l'apprentissage par conditionnement et l'influence subliminale qui persuade les personnes à leur insu ; à celle d'une audience active avec les modèles des réponses cognitives et ELM ; avant de revenir à une situation intermédiaire où les deux cas coexistent avec le modèle de l'influence des émotions, un modèle complet comprenant le sujet aussi bien comme un individu conscient que dans sa dimension subconsciente. [...]
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