sociologique urbaine, classes sociales, Travail, domination, émancipation, hierarchie professionnelle, environnement de travail, Burn-out, Lacan, Françoise Dolto, narcissisme, Freud, aliénation sociale, sublimation, idéal, équilibre
La théorie sociologique et sociale a toujours accordé de l'importance au problème des classifications sociales, c'est-à-dire à la manière dont le monde social et naturel est divisé, valorisé et qualifié, soit par les acteurs sociaux eux-mêmes (individus, groupes et institutions), soit par la sociologie et d'autres sciences sociales et humaines. Cependant, ces dernières années, ce problème est apparu au centre du débat théorique pour diverses raisons concernant la société actuelle, en raison des luttes sociales croissantes et des formes de numérisations.
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L'intérêt de l'étude revient à mettre en évidence l'interaction entre domination et émancipation en milieu de travail. Pour ce faire, je me consacre d'abord dans l'étude de la domination sur toutes ses formes. Ensuite, je me concentre sur le potentiel émancipateur des processus guidés par le renversement des rapports de domination à travers l'émancipation individuelle et collective. Enfin, je souligne l'importance d'un nécessaire équilibre entre la domination et l'émancipation au travail.
[...] Suite à la crise sanitaire, l'arrogance de la classe dominante qui refuse d'être catégorisée comme étant bourgeoise malgré sa richesse, qui lui permet de détenir une résidence secondaire, est devenue insupportable aux yeux des gens ordinaires. Selon Christophe Guilluy, cette situation de confrontation était prévisible. Les philosophes auraient un principe infaillible selon lequel le réel ne peut disparaître complètement. L'étude que nous avons menée nous aura permis de constater l'évolution de la forme de domination dans le monde du travail. [...]
[...] Quelles sont les interactions entre les processus de domination et d'émancipation dans le domaine professionnel ? La théorie sociologique et sociale a toujours accordé de l'importance au problème des classifications sociales, c'est-à-dire à la manière dont le monde social et naturel est divisé, valorisé et qualifié, soit par les acteurs sociaux eux-mêmes (individus, groupes et institutions), soit par la sociologie et d'autres sciences sociales et humaines. Cependant, ces dernières années, ce problème est apparu au centre du débat théorique pour diverses raisons concernant la société actuelle, en raison des luttes sociales croissantes et des formes de numérisations. [...]
[...] Émancipation Émancipation individuelle Sublimation Lacan décrit la sublimation comme une : (...) Satisfaction sans refoulement, qu'elle soit implicite ou explicite, il y a un passage du non-savoir au savoir (...) . En effet, à travers la sublimation qui se produit, l'Idéal du Moi doit se transformer en une version plus acceptable et réalisable. Il existe une corrélation entre la perte de l'estime de soi et la blessure du Moi par une frustration de satisfaction dans la sphère de l'idéal du moi. En principe, les personnes qui ont un déficit de confiance en soi ou d'estime de soi sont à l'affût de ce que pensent les autres. [...]
[...] Intellectuelle par le savoir, dans l'unicité d'une solution L'entreprise peut introduire des règles superficielles, ou encore, utilise celles qui existent afin d'accroître son contrôle et sa surveillance des individus. Ces règles ont tendance à heurter les travailleurs du savoir, car elles leur semblent illégitimes et inefficaces. Ils s'y plient néanmoins, et s'y adaptent. L'organisation syndicale est rarement informée par les employés, pas plus que le recours à la législation du travail. Ils en viennent à accepter leurs sanctions en cas de bavures, mais leur identité individuelle en est atteinte. Les travailleurs du savoir se trouvent alors piégés dans leur identité professionnelle. [...]
[...] Toutefois, d'après Freud, le Moi-Idéal n'est pas nécessairement l'idéal auquel aspire le sujet, puisque le processus de sublimation ne garantit pas la préservation de cet idéal. Par conséquent, la version adaptée est l'idéal auquel il aspire, qu'il appelle l'Idéal du Moi (Ich-Idéal). Émancipation collective La force du collectif pour l'émancipation Pour Roy et Audet, l'organisation en équipes implique l'abandon des liens hiérarchiques et elle exprime clairement une volonté de rompre avec le contrôle afin de libérer l'initiative des travailleurs. Ainsi, en s'opposant de manière collective à la domination, l'équipe peut parvenir à l'émancipation. [...]
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