Lors de mon stage effectué dans un SESSAD (service d'éducation spécialisée et de soins à domicile) auprès d'enfants déficients intellectuels âgés de 0 à 20 ans, j'ai pu constater que la psychologue du service, pendant les entretiens avec les patients, utilisait considérablement le dessin comme procédés d'interactions avec les enfants ; ainsi que le test du bonhomme de Florence Goodenough pour évaluer le QI (quotient intellectuel) des enfants du service. Dans le but de déterminer le QI, elle employait également l'évaluation des performances intellectuels de Wechsler (le WISC : Wechsler intelligence scale for children). Les QI trouvés aux deux tests présentaient parfois des différences, or on sait que le WISC est plus fiable que le test du bonhomme (...)
[...] Dans l'univers fantasmatique, chaotique, morcelé de l'enfant des liaisons pourtant se constituent. Pour elle, la liaison s'établit dans le rapport de l'enfant à la parole maternelle. Une fois le besoin apaisé, les soins donnés, la mère parle gratuitement pour ainsi dire, pour son seul plaisir et celui de l'enfant. Peu importe les paroles dites. Ce qui compte, c'est que des phonèmes (son minimal d'une langue possédant des traits caractéristiques qui permettent de distinguer les mots des uns des autres), qu'une voix énonce au moment où la satisfaction est apaisée. [...]
[...] Puis après observation du score il le compare à la moyenne du groupe la plus proche. Cette moyenne dont il est le plus proche constitue l'âge mental de la personne. Le problème qui s'est posé c'est qu'un écart d'âge mental n'a plus la même signification quand vous avez 3 ou 5 ou 12 ans Stern va instaurer le quotient intellectuel : QI = (âge mental / âge réel)*100. Donc un QI normal est de 100. La représentation d'âge mental est bien pour les enfants mais elle n'a de sens pour l'adulte. [...]
[...] Si vous avez un QI de 100 : 50% de la population à des performances au dessous de vous et 50% au dessus. Un QI entre 85 et 115 représente 65% de la population et 95% ont un QI entre 70 et 130. Pour finir, on ne parle de déficience mentale que lorsque le QI se situe à deux écarts-types en dessous de la moyenne soit en dessous de 70. Même si on ne peut se satisfaire d'une quantification aussi réductrice, il peut être utile de repérer le niveau d'efficience intellectuelle d'un enfant pour lui proposer des objectifs éducatifs. [...]
[...] Anatomique en ce qu'il reflète la perception qu'a un individu des rapports des différentes parties de son corps entre elles et avec son environnement. Fonctionnel en ce qu'il exprime la perception qu'a ce même individu de la mécanique de ce corps biologique. Donc le schéma corporel est en principe le même pour tous les individus à peu près au même âge et sous le même climat de l'espèce humaine. L'élaboration du schéma corporel : L'élaboration du schéma corporel se réalise à travers une relation constante Moi - monde des choses - monde des autres en un certain nombre d'étapes bien caractérisées se conditionnant et s'appuyant les unes sur les autres. [...]
[...] Un dessin, pour être ressemblant, doit contenir tous les éléments réels de l'objet, même invisibles, soit du point de vue d'où il est envisagé, soit de n'importe quel point de vue. De plus, ce dessin doit donner à chacun de ces détails sa forme caractéristique, celle qu'exige l'exemplarité. Cela peut aller jusqu'à la représentation d'éléments abstraits qui n'ont d'existence que dans l'esprit du dessinateur. Les procédés utilisés à ce stade sont : - le détachement dans le dessin, des détails qui dans la réalité se confondent et se masquent plus ou moins. [...]
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