Articulation platonicienne, caricature, idées, relativisation du vrai, charme et laideur
Idée universelle, singulière, ou particulière. La science ne cesse de créer des nouveaux concepts (astres, planètes … ), les idées sont autre chose : elles ne sont pas définies. Quand il y en a peu, ce sont ces trois-là. Elles nous parviennent comme un héritage : ce qu'on possède sans avoir rien fait pour, on ne sait pas comment l'utiliser.
Il peut être un poids et peser. C'est un héritage de la métaphysique : consiste à remonter à de premiers principes, à de premières idées. Quand nous pensons, c'est sous le poids et avec l'héritage de ces trois idées. Idée universelle et singulière n'est pas abstraite mais tout à fait concrète car universelle et singulière.
[...] Le Socrate de Platon s'interroge sur la vérité, la dissociation devient théorique avec Platon. On s'interroge sur la relation entre la beauté et la bonté, et sur la vérité de la beauté et de la bonté. Ne pas se laisser aveugler par les apparences : voir par un autre biais : voir par les idées. Tout ce qui découle du beau : ce qui participe à l'idée du beau. Partir des choses belles : l'Hippias Majeur : dialogues avec Socrate. Pourquoi les choses sont-elles belles ? [...]
[...] Livre II, III, et X dans la république de Platon. Poésie épique : personnages, l'auteur se dissimule donc derrière eux, narration qui imite la réalité, ils se différencie de l'auteur sans avoir de réalité et imitent des personnages existants t des actions. Ce serait une mauvaise imitation de la justice (et donc du bien). Elle tient un discours sur l'action, mais en même temps comme elle ne fait qu'imiter la justice elle est immorale, et pire elle enseigne l'immoralité. Quelles sont ces contes. [...]
[...] C ) Laideur, réalisme et caricature La caricature a toujours existé comme visant à dessiner les traits d'une personne. Suppose que l'on connaisse les traits idéaux afin de pouvoir les inverser. Esthétique du laid, Rosenkranz : mène à une forme de classification, un envers de l'histoire du beau. Caricatures des peuples européens, E. Fuchs : technique en elle-même , qui a sa propre histoire, qui se distingue de l'esthétisme, réaction par rapport au grand art. Elle évolue avec le temps et les conditions sociales, et les traduit mieux que le grand art car est populaire. [...]
[...] Le vrai, le beau, le bien Idée universelle, singulière, ou particulier. La science ne cesse de créer des nouveaux concepts (astres ( planètes . ) les idées sont autre chose : elles ne sont pas définies. Quand il y en a peu, ce sont ces trois-là. Elles nous parviennent comme un héritage : ce qu'on possède sans avoir rien fait pour, on ne sait pas comment l'utiliser. Il peut être un poids et peser. C'est un héritage de la métaphysique : consiste à remonter à de premiers principes, à de premières idées. [...]
[...] Ce qui est laid n'en a donc plus beaucoup (crasse, boue). Vérité du bien, scientifique, ne touche pas au principe du meilleur. Concurrence entre les 3 ordres : qui vient en premier ? Cause de la réalité serait un être suprême mais aussi source du bien. Ethique : science du bien (Nicomaque : rien de plus haut que la contemplation du souverain bien). II. Le vraisemblable, charme et laideur Dissociation entre les 3 idées. Qu'est-ce qui se différencie le plus du vrai, beauté ou laideur ? [...]
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