Les troubles psychiques dépendent de ce qu'on est déjà. Les éléments potentiellement pathogènes sont déjà en nous. Cela dépend de nos « défauts » et de nos « qualités ». Etre normal, c'est s'accommoder de nos « défauts » et de nos « qualités ».
Symptôme = Trait de caractère qui s'amplifie et devient gênant (...)
[...] Ce déterminisme est tributaire de la dimension historique. Exemple : Hystérie : Etre hystérique en France, ce n'est pas pareil que d'être hystérique en Afrique. Il y a des variations en fonction de l'évolution des mœurs. Dimension historique surdéterminée : On est déterminé par notre culture qui est judéo-chrétienne, même si on n'est pas chrétiens. En même temps on est français. Puis il y a l'histoire individuelle. La phénoménologie : On ne dissocie pas la réalité des choses de la façon dont on les perçoit et dont on les ressent. [...]
[...] Approche possible de façon mécaniciste, ou clinique. L'individu sert comme lieu de vérification : Il faut amener les personnes à leur rythme à comprendre la réalité du problème. Besoin physiologique élémentaire : Manger Oxygène Température Catalyseur affectif : Pour intégrer la culture, il faut une aide. Il faut que quelqu'un l'aime pour qu'il ait un intérêt à la culture, et ait envie de vivre. La base du développement c'est l'amour. Notre vie est régie par nos interactions sociales. En psychologie cognitive on laisse la dimension psycho affective de côté. [...]
[...] Elle peut recourir à une thérapie cognitivo- comportementale mais ici on fait comme si le problème c'était l'objet phobogène. On rééduque la perception de l'objet phobogène, par une exposition progressive Approche mécaniciste. Le clinicien, c'est qu'un symptôme est un appel à l'aide. Qu'est ce qui ne va pas dans sa vie Ici focalisation de l'angoisse sur l'avion. On essaye de mettre la réalité en face de la personne. Exemple : Elle se rend compte qu'elle passe trop de temps dans son travail. On va au fond des choses. [...]
[...] Spécificité de la démarche clinique. Pathologie, c'est l'exagération du normal : Les troubles psychiques dépendent de ce qu'on est déjà. Les éléments potentiellement pathogènes sont déjà en nous. Cela dépend de nos défauts et de nos qualités Etre normal, c'est s'accommoder de nos défauts et de nos qualités Symptôme = Trait de caractère qui s'amplifie et devient gênant. Le positivisme : Référence, car le positivisme est à l'origine de la définition moderne de la science. Il répond à qu'elles sont les disciplines qui sont de vrai discipline scientifique. [...]
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