Souffrance psychique, dépression, stress, suicide, toxicomane
Si les conditions sociétales particulières favorisent le développement de troubles spécifiques, il reste que les individus en sont inégalement atteints.
La variable sexe joue un rôle majeur dans le trouble mental : plus les tentatives de suicides chez les femmes, mais moins de suicides réussis, plus de dépressions, moins de schizophrénies et de psychoses, plus de troubles alimentaires, moins d'addictions, plus de troubles d'opposition, des conduites et d'hyperactivité chez les garçons que chez les filles, qui connaissent davantage les troubles anxieux
[...] 2.Travaux sociologiques Les études suivantes, qualitative, sont plus clairement sociologique, ce qui concerne leur questionnement et leur objet ne sont pas préconçu par la psychiatrie, mais par la tradition sociologique, et qu'elles mettent au jour les rapport sociaux. Ces travaux ne couvrent qu'une partie du champs ? Évoquons en quelques uns, et de manière non exhaustives : -Les travaux déjà anciens des interactionnismes de Chicago sur les addiction montrent que pour devenir toxicomane , le consommateur doit se conformera des normes d'usage, respecter des rituels et être initié par le groupe de pairs . [...]
[...] Des témoignages sur la stigmatisation de la lama ide et de l'hospitalisation comme causes secondaires de troubles (Fédération nationales des associations d'usager en psychiatrie, Union nationale des amis et familles de malades psychiques qui n'ont pas encore donné lieu à formalisation écrite, pourraient également fournir des matériaux à une analyse sociologique des réaction sociétales au trouble comme source propre de trouble 3.La souffrance psychique comme souffrance sociale Quelques sociologues ainsi que des médecins de santé publique ont contribué l émergence de la souffrance sociale comme objet sociologique mobilisant les problématiques de l'intégration sociale et de la stratification sociale, mais aussi de l'aliénation du travail( la sociologie du travail, dès ses début, à étudier la souffrance du travail). C'est Bourdieu qui porte le premier ce thème auprès d'un large publique avec la misère du monde. La souffrance( le terme figure sur la couverture du livre) est un objet spécifique permettant d'aborder cela sociologiquement. Le livre identifie deux forme de souffrance sociale subjectives liées aux conditions sociales d'existence : la misère de la situation, et la misère de position.(liée au sentiment d'injustice et alla jalousie sociale) Ensuite de nombreux travaux dont ceux de Leclerc explorent cette voie. [...]
[...] La grossesse et le pots parfin favorise les troubles dépressifs et psychotiques. S'il existe des théories biologiques qui tentent d'expliquer certaines différences, il n'existe pas de théorie sociologique radent compte de leur dimension sociale. L'âge c'est aussi une variable démographiquement centrale, avec la spécificité de la pathologie infantile, enfantine, adolescente ou du vieillissement, mais il est finalement peu systématiquement mesuré par les études épidémiologique, qui tendent à être cloisonné par âge et par spécialité médicales .La situation familiale les manques affects, la solitude, le manque de confident dans l'entourage favorise la souffrance psychique. [...]
[...] La construction d'une identité fonctionnelle est une ressource utilisée par certains malades, mais également par les autres SDF. Chez les SDF malades, la nature des manifestations pathologiques et leurs formes son étroitement liées aux données biographique et culturelles ; -Lehmer analyse, notamment sur la paranoïa, le rôle des réaction sociales à la déviation comme une source de déviation psychotique secondaire. Signalons que quelques témoignages montrent que des organisations de soins et les rapports sociaux entre le malade et son entourage peuvent jouer le rôle causal dans le processus du trouble. [...]
[...] La rupture des couples (séparation, divorce, veuvage) est un facteur de risque majeur de la dépression. Pour les hommes comme pour les femmes, on observe moins d'épisode dépressifs en couple, davantage pour le célibat et plus encore en cas de rupture. Pour les hommes, le veuvage est l 'événement le plus déstabilisant alors que pour les femme c'est la séparation ou le divorce .Les traumatismes le chaumage, la précarité,, la maladie somatique par exemple, une affection ORL chronique . le stress, les traumatismes accroissent les risques statistiques de trouble mental .La religion Il ne semble pas exister sur les troubles mentaux aujourd'hui de travaux sociologiques équivalent a celui de Durkheim a accompli le suicide(démontrant le rôle statistiquement protecteur du catholicisme). [...]
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