Dans « Les Ruses de la Communication », Henri-Pierre Jeudy apparaît comme un prophète de sort malheureux.
Premièrement, il se donne beaucoup de peine pour démontrer que les théoriciens sociaux français pendant les vingt dernières années ont failli dans leur analyse et critique des développements sociaux. Les sciences sociales sont critiquées à cause de leur manque d'objectivité et pour analyser celles-ci il faut analyser les actes de langage et de communication.
Il parle des ruses quotidiennes avec les réseaux et les objets techniques qu'il assimile à des signes d'innovation dans le fonctionnement des technologies de communication.
Il fait part d'une de ces théories qu'est « la socialisation de la communication » et d'après lui les tableaux de société finissent par avoir le même thème, celui de la communication.
D'après lui, la violence critique est éphémère car elle suit le mouvement des phénomènes sociaux, des changements d'idées, de la mutation des sociétés etc.
Par ailleurs, la société de communication s'impose, selon lui, avec la crise des représentations.
[...] Même s'il y a des endroits où les nouvelles technologies sont mal développées, leur nécessité s'est insinuée dans le corps social sous la forme du besoin de communiquer. Cette communication est entretenue par les différents services sociaux et culturels. Il aborde le problème de la sphère publique et privée lorsque les réseaux de communications essayent de pénétrer dans la vie privée de la personne connectée au réseau. En fait, toute la gestion de l'espace public tend à s'imposer dans des modèles de communication mais en parallèle avec la hausse du sentiment d'insécurité, l'espace privé s'est donc renforcé. [...]
[...] Résumé de Les ruses de la communication Dans Les Ruses de la Communication Henri-Pierre Jeudy apparaît comme un prophète de sort malheureux. Premièrement, il se donne beaucoup de peine pour démontrer que les théoriciens sociaux français pendant les vingt dernières années ont failli dans leur analyse et critique des développements sociaux. Les sciences sociales sont critiquées à cause de leur manque d'objectivité et pour analyser celles-ci il faut analyser les actes de langage et de communication. Il parle des ruses quotidiennes avec les réseaux et les objets techniques qu'il assimile à des signes d'innovation dans le fonctionnement des technologies de communication. [...]
[...] L'interactivité est le devenir de la communication et tous les réseaux ne sont que des moyens et leurs différentes fonctions n'existent plus devant l'acte humain d'échanger, de s'informer et de donner l'information. Dans ce livre, l'ordre de la communication est souvent cité. En effet, celle-ci apparaît telle la caricature d'une logique universelle capable d'intégrer tous les modes de distribution, de transmission et de captation de l'information. La communication introduit une grande parodie du sens car d'après l'auteur, elle annule autant la question de l'arbitraire qu'elle rend inutile la puissance de l'interprétation. La puissance des paroles (virale) perturbe l'ordre de la communication à cause interprétations et des signes émotionnels. [...]
[...] Il a mené des recherches sur les phénomènes de peur et de panique, sur les catastrophes, après avoir développé des études internationales sur les patrimoines et les politiques culturelles, sur le traitement muséographique des mémoires collectives, et s'est engagé dans une réflexion sur les sciences sociales et l'esthétisation contemporaine des phénomènes de société. Présentation du livre Les ruses de la communication Édition 2001. Ce livre est divisé en trois grandes parties: * La contamination du sens. * Miroirs de la communication. * Les ruses de l'interprétation. Ces trois parties sont elles-mêmes divisées en six sous parties. C'est un livre très difficile à comprendre en totalité car il y a beaucoup de philosophie et de psychologie dans ce que Mr Henri Pierre Jeudy tente de démontrer. [...]
[...] Il suppose que la communication n'est pas le système tout-puissant. Il pense que les médias électroniques deviendront un univers non uniforme où il est impossible de maintenir l'ordre. D'autre part, il parle de la culture, des modes de vies et de la modélisation des types de comportement qui sont liés à la transformation de la société. Les images de vie quant à elles ne sont que des fragments de rêves, de fantasmes, d'aspirations, de projets et de modèles, de souvenirs et aussi de restes d'idéaux. [...]
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