Fiche de lecture de Malaise dans la civilisation (1929) de Freud analysant l'oeuvre chapitre par chapitre.
[...] Donc faire le mal et avoir eu l'intention revient au même. Le surmoi punit le moi grâce à l'état d'angoisse. C'est les plus sain qui se diront les plus grands pêcheurs. L'individu à qui arrive un problème, va se blâmer de ses propres pêchés. Dans le malheur on se ressoumait au surmoi. Il existe deux origines au sentiment de culpabilité : l'une est l'angoisse devant l'autorité et l'autre est l'angoisse devant le surmoi. La première contraint l'homme à renoncer à satisfaire ses pulsions. [...]
[...] Chapitre 3 La misère de l'homme (ie ces souffrances) serait dû à la civilisation, la culture. Cela peut paraître difficile à croire car c'est cette même civilisation qui nous protège de la nature. Toutefois cette accusation de la culture s'explique historiquement : -La religion chrétienne dévalorise la vie terrestre. -Une idée : la thèse selon laquelle les primitifs sont heureux hors la modernisation et la technologie ont des côtés positifs non négligeable. Il est difficile de savoir quel bonheur avaient nos aïeux ou les dits primitifs On les envie mais on ne peut être à leurs places. [...]
[...] Et c'est une question à laquelle on sait répondre : Le bonheur. Le principe de plaisir dirige nos vies. L'homme peut connaître trois origines de souffrances : le corps, le monde extérieur, autrui (la plus dure pour l'homme). Il existe néanmoins des voies possible vers le bonheur : -Satisfaire ses moindres désirs (Attention cela peut devenir vite dangereux) -L'isolement volontaire : l'éloignement d'autrui. -La méthode chimique (Intoxication) -Le bonheur de l'assouvissement du fruit défendu. -Sublimation (déplacement de la libido). -On cherche du plaisir interne pour être indépendant de l'extérieur. [...]
[...] On garde donc en nous les vieilles lois qui nous régissent. Le sentiment de desaide infantile ajouté à la désirance pour le père (la protection) est remplacé plus tard par l'angoisse devant la puissance du destin. Pour démontrer que le psychisme garde de vieilles traces de son état primitif : l'état amoureux. Quand on est amoureux, l'unité Moi est confondue avec l'autre. Pourtant le Moi est toujours bien délimité par l'individu sain et là il avoues de lui- même : Nous ne faisons qu'un Freud parle de sentiment océanique qui est le sentiment de faire avec un avec le monde. [...]
[...] Chapitre 7 Comment la civilisation fait pour calmer les individus ? (Inhiber l'agressivité). L'agression est introjectée, intériorisée : elle repart contre le moi. Là elle est reprise par une partie du moi : c'est le surmoi. Elle devient la conscience morale Elle manifeste autant d'agressivité vers le moi que quand c'était envers une personne extérieure. Ainsi le sentiment conscient de culpabilité : le conflit entre le moi et le surmoi. Ce sentiment se manifeste par le besoin de punition. Le cas de la culpabilité : le sentiment d'avoir mal ou l'intention de faire mal. [...]
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