La schizophrénie est souvent perçue comme étant la pire forme de troubles psychologiques pouvant toucher les humains (Carpenter & Buchanan, 1994). Cette maladie a un impact sur tous les aspects de la vie. Elle est caractérisée par de profonds dérèglements de la pensée (délire), du langage, de la perception (hallucination), de l'attention, de l'activité motrice, de l'humeur et parfois se rapproche de l'autisme (Rathus, 2003) (...)
[...] Schomerus, G et al. (2006). Public knowledge about causes and treatment for schizophrenia : A representative population study. The journal of nervous and medical disorder, volume 194, (VIII) pages. SQS. (2006). Société Québécoise de la Schizophrénie. Site téléaccessible à l'adresse . Consulté le 4 novembre 2006. État caractérisé par de l'inertie et de l'insensibilité profondes. Méthode d'exploration d'un organe consistant à injecter une substance radioactive ayant une affinité particulière pour l'organe examiné et à enregistrer la distribution de la substance. [...]
[...] Nous avons aussi indiqué l'incidence de cette maladie sur la population, de même que sa sévérité. Deuxièmement, il était question de présenter les causes du problème, autant en spécifiant les bases génétiques que les autres facteurs de risques biologiques associés à la schizophrénie. Troisièmement, nous avons décrit les fonctions biologiques reliées au problème. Pour ce faire, nous avons divisé ces fonctions selon trois composantes : physiologique, neurologique et hormonale. Finalement, nous avons élaboré deux sommaires de travaux de recherche qui ont été fait sur la schizophrénie. BIBLIOGRAPHIE Bellicha G. [...]
[...] Debnath, M et al. (2006). Genetic associations between delusional disorder and paranoid schizophrenia : A novel etiologic approach. Canadian journal of psychiatric, volume 51, pages. Les brèves de neuroendocrinologie. (2005). Hormones sexuelles, humeur, état mental et mémoire. Site téléaccessible à l'adresse . Site consulté le 18 novembre 2006. Olds, S et D. Papalia. [...]
[...] Par contre, certains moments peuvent être teintés de lucidité et il est possible pour eux de se rendre compte du caractère étrange de leur conduite. (Rathus, 2003) Le schizophrène est souvent victime d'hallucinations. Au niveau de l'activité motrice, il peut passer d'un extrême à l'autre, soit l'excitation ou la stupeur[1]. Finalement, les personnes aux prises avec cette maladie ont tendance à s'isoler des contacts sociaux et à se replier sur elles-mêmes. (Rathus, 2003) 3.2 Les composantes neurologiques Depuis 1976, de nombreux chercheurs examinent le rôle de deux neurotransmetteurs, la dopamine et la noradrénaline, dans l'apparition de la schizophrénie. [...]
[...] Ensuite les chercheurs ont tenté de déterminer si ces deux maladies avaient des mécanismes étiologiques communs. Sur un échantillon composé de 100 personnes atteintes de troubles délirants personnes atteintes de schizophrénie paranoïde et de 150 autres personnes, formant le groupe témoin, ne souffrant pas de maladie mentale, mais présentant un profil socioculturel semblables, les chercheurs ont procédé à des prélèvements sanguins suite à l'obtention des consentements de chacun. Ces gens ont été recrutés à l'hôpital et collège médical de Bengale Nord, en Inde. [...]
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