Psychosomatique, douleur, maladie, souffrance, masochisme, médecine moderne, réactions physiques, psychologiques, pathologie, organes, traumatismes, psychanalyse, traitements des informations, enfance, actes manqués, lapsus, moi et surmoi
La psychosomatique est une branche récente de la médecine moderne et de la psychanalyse. Elle consiste à observer des réactions physiques semblant pathologiques, qui ne sont pourtant pas causées par un dysfonctionnement des organes.
[...] » « Dès que l'on pose ce problème, trois destinées semblent ouvertes au sujet qui souffre : un destin sublimé dont les religions fondées sur la souffrance sont l'exemple ; un destin pervers dont le masochisme est le type achevé ; enfin un destin maturant qui passe par le biais nécessaire de la non-satisfaction. » « [ . ] La phrase de Freud : « Le moi réagit avec plaisir, par des sentiments d'angoisse (et de souffrance, ajoutons-nous ici) à la perception qu'il est resté en deçà des expériences passées, par son idéal, le surmoi. [...]
[...] Dans la dynamique du phénomène psychosomatique, il y aurait un déroulement en trois temps. Dans un premier temps, il y aurait traumatisme précoce, souvent une séparation. Le fait important, c'est qu'en raison de l'importance de celui-ci, en raison de la faiblesse du moi, ce premier traumatisme n'aurait pas été remarqué, n'aurait pas été mentalisé, dialectisé ; il aurait été dénié, mis en mémoire dans le corps. Dans un deuxième temps, des stress se multiplient ou bien certains signifiants rappellent le trauma initial. [...]
[...] Psychosomatique : quel peut être le rôle de la douleur dans la maladie ? - Introduction, plan détaillé et bibliographie Introduction La psychosomatique est une branche récente de la médecine moderne et de la psychanalyse. Elle consiste à observer des réactions physiques semblant pathologiques, qui ne sont pourtant pas causées par un dysfonctionnement des organes. En effet, il s'agit le plus souvent d'une manifestation nerveuse d'un état psychologique. La médecine moderne peine à comprendre pleinement son fonctionnement et sa raison, puisqu'elle minimise souvent l'impact de la psyché sur le corps. [...]
[...] La psychosomatique n'est pas qu'une pathologie douloureuse, mais un appel à l'Autre, une différenciation de soi et des autres, une façon d'exprimer sa souffrance sans pouvoir poser de mots dessus, une manifestation masochiste, la conséquence d'une pulsion de vie et/ou de mort inavouée . Cette pathologie est à la fois un message et un avertissement aux thérapeutes : la psyché de l'Homme est particulièrement complexe, pour en déceler les messages et pouvoir soigner les esprits malades, il faut pouvoir s'écarter des considérations froides et codifier pour vouloir comprendre l'individualité qui souffre. [...]
[...] ] : la symptomatologie somatique est une voie, parmi d'autres (activités, comportement, sublimation . ) d'écoulement des excitations non liées. » Chapitre X. Expression somatique du bébé, qualité du fonctionnement psychique maternel et nature de la triade père-mère-bébé Rosine Debray, Rose-Angélique Belot Dans La psychosomatique du bébé (2008), pages 283 à « [ . ] Une certaine anxiété parfaitement contrôlée par le « Moi » ne constitue pas un traumatisme. » « Les échecs fréquents de ces interventions* viennent, en partie, du fait qu'elles n'ont aucun pouvoir de supprimer l'excitation entretenue par le conflit qui alimente le syndrome, ou en conservant la possibilité de barrer une voie de décharge et par là même de créer une situation traumatique. [...]
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