Berne (1910-1970) (auteur de l'analyse transactionnel) appelle position de vie, la manière fondamentale et constante dont une personne se situe face à elle-même et aux autres. Les premières expériences de la petite enfance jouent un rôle décisif dans l'établissement de la position de vie. Les enfants choisissent leur position de vie en fonction de leurs expériences, c'est à dire aux différentes manières de réagir aux traumatismes, aux mauvais traitements ou à leurs désirs non satisfaits. Très tôt, l'enfant adopte des positions de vie qui vont déterminer son regard sur les autres et lui-même et vont orienter ses décisions de scénarios. Les positions de vie de l'individu délimitent en réalité un cadre de référence qui lui est propre ...
[...] Un engagement fait publiquement renforce la volonté de changer et implique les personnes témoin. Par exemple, si un ami vous annonce son souhait d'arrêter de fumer, il se sentira obligé de respecter sa parole devant vous et s'il craque en votre présence, vous vous sentirez obligé de lui faire une réflexion. Pour que des changements aient lieu dans une entreprise, il est indispensable qu'elle en ressente une réelle nécessité à ce changement (la menace de concurrents, des grèves à répétition, Il semble important d'impliquer les salariés mais sans pousser trop loin la désorganisation car la panique peut entraîner une démotivation. [...]
[...] Si elle ne l'est pas, le combat sera le comportement le plus fréquent. (Laborit, 1986) Enfin, il existe un troisième type de réaction : l'inhibition de l'action consiste à subir et attendre que cela se passe ; elle apparaît lorsque l'individu estime que ni la fuite ni le combat ne pourront le soustraire aux effets nocifs de l'agent. La vulnérabilité d'une personne peut être déterminée par plusieurs facteurs psychologiques : - Une tendance personnelle à inhiber ses émotions (par répression ou par grande timidité) ; - Des expériences personnelles (influence de la famille, des amis, des médias, etc.) ; - Du concept de soi et de l'estime de soi. [...]
[...] Un employé doit accepter de se faire aider par son responsable. Si ce n'est pas le cas, il faut alors applique des sanctions disciplinaires. L'employé en difficulté ne doit pas se sentir jugé par son responsable, pour cela, il ne faut pas lui donner trop de conseils ou lui faire des leçons de morale. A l'inverse, le responsable ne doit pas se montrer trop sympathique car cela ne va pas aider l'employé à changer. Conclusion La résistance au changement de la part de l'individu est le principal problème rencontré lors du processus de changement que ce soit au niveau personnel dans la vie quotidienne ou au niveau personnel dans l'entreprise. [...]
[...] Les injections sont des indicateurs du contenu du scénario. Les messages que reçoit l'individu lors de son enfance comprennent également les contre injections. Ce sont des conseils transmis aux enfants sur la manière de se comporter enfant afin de plaire aux parents. Il en existe cinq principaux : Fais plaisir Sois fort Fais des efforts Sois parfait Dépêche toi Les contre injonctions informent sur la manière dont l'individu va vivre son scénario de vie. L'enfant a besoin de permissions verbales ou non (permission d'exister, d'être soi-même, de trouver la vie pleine de sens La prise de décision de l'enfant est liée aux messages reçus par ses parents ou éducateurs et oriente le scénario de vie. [...]
[...] Le sentiment parasite ou racket est un sentiment dit substitutif. Il est mis en place par la personne pour se protéger, c'est-à-dire éviter de ressentir et de manifester un autre sentiment non toléré par la famille. Or l'individu croit ressentir ce sentiment alors qu'il n'est pas représentatif du sentiment authentique. On dit que la personne qui entre en relation avec les autres à partir d'un sentiment parasite va instaurer une relation de parasitage. Prenons l'exemple de madame X et de son fils. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture