Le créateur de la graphologie est un abbé italien (1622). Selon lui, l'écriture pouvait être découpée en différents éléments. Celui qui a popularisé la graphologie en France, est l'abbé J.H MICHON (1871). Jean CREPIEUX-JAMIN tombe par hasard sur le livre de l'abbé MICHON, et écrit un livre le plagiant totalement : « l'écriture et le caractère » et « l'ABC de la graphologie ». Selon lui, l'écriture n'est pas l'expression de l'âme comme le pensait [...]
[...] Ils ont aussi montré que des psychologues ou des novices évaluent l'écriture avec u coefficient de validité qui varie de .18 à Chez les graphologues, ce coefficient de validité varie entre .15 et Sur les 6 études sur l'entraînement de observateurs ont montré que cela n'avaient aucun effet sur la validité. La validité des inférences tirées de l'écriture Approches holistiques Référence à la gestalt théorie. Les recherches sont faites sur l'écriture, considérée dans sa totalité. Ex : flash graphologique. On prend ensuite l'écriture d'un sujet et son portrait, et on demande à un graphologue et à un novice d'apparier. Il y a d'erreurs sur le sexe. Qu'on soit novice ou professionnel, l'appariement correct varie de 40 à Approches empiriques On prend deux groupes contrastés, et on compare leur écriture. [...]
[...] Les délinquants ont moins de contrôle de la décharge graphique. Les non délinquants ont une écriture plus équilibrée. Les recherches de GOBINEAU et PERRON (graphométriciens) est intéressante. Ils ont comparé des groupes soit selon leurs âges, soit selon leur Q.I, soit selon leur niveau social. Ils ont trouvé 31 caractéristiques différenciant ces groupes, et ont construit une échelle type A (adulte). Ex : simplification, rapidité. Ces caractéristiques se modifient avec l'âge, le Q.I (.80) Ces études n'ont pas permis d'aboutir à des différences d'écriture significatives, entre des groupes différents. [...]
[...] KALGES est le président de l'école allemande de graphologie. Pour lui, l'écriture est un compromis entre le contrôle et la décharge motrice. Les suisses ont été très influencé par la dimension spatiale de l'écriture. Les américains proposent de mesurer l'écriture : la grapho-analyse mesure 21 dimensions de l'écriture (Cf. p.5-6 du polycopié). L'isoment de la graphologie Les graphologues ont une vision de la personnalité très rudimentaire : ils font référence à la caractérologie, aux typologies d'HIPPOCRATE, aux stades de FREUD, à JUNG. [...]
[...] Ex : SONNEMAN L'écriture était une lettre de candidature, ce qui n'est pas neutre. Cf. p.27-28 sur la polycopié. III) UN BILAN CIRCONSPECT Tous les auteurs s'accordent à dire que la graphologie n'est pas une méthode valide. Pour le moment, les graphologues ont des clients, car ces derniers ne s'intéressent pas aux différentes validités. Il faudrait des recherches sérieuses sur l'écriture. Compte tenu des recherches que l'on possède, l'utilisation de la graphologie dans l'évaluation professionnelle est contestable, notamment lorsqu'elle joue un rôles décisif dans les premiers tris. [...]
[...] Dans une écriture, on va retrouver un ensemble de signes ayant une forme pouvant être mises en parallèle avec la personnalité : c'est de la psychologie quotidienne. Les courants graphologiques Le créateur de la graphologie est un abbé italien (1622). Selon lui, l'écriture pouvait être découpée en différents éléments. Celui qui a popularisé la graphologie en France, est l'abbé J.H MICHON (1871). JEAN CREPIEUX-JAMIN tombe par hasard sur le livre de l'abbé MICHON, et écrit un livre le plagiant totalement : l'écriture et le caractère et l'ABC de la graphologie Selon lui, l'écriture n'est pas l'expression de l'âme comme le pensait l'abbé MICHON. [...]
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