Il fait aussi l'hypothèse que plus les variables sont proches, et plus l'influence du facteur G est importante. Il va essayer d'estimer ces saturations. Il y a un facteur de variation générale, et un facteur de variable spécifique à chaque épreuve. Selon SPEARMAN, l'intelligence est la puissance de raisonnement inductif et déductif de l'individu. C'est l'éduction des relations et des corrélats. Il appelle éduction, la capacité à éduire des relations et des corrélats. L'éduction des relations, c'est essayer de trouver des relations entre les objets. L'éduction des corrélats, c'est trouver un objet à partir d'un autre, lorsque l'on connaît les relations qui [...]
[...] Il y a un facteur de variation générale, et un facteur de variable spécifique à chaque épreuve. Selon SPEARMAN, l'intelligence est la puissance de raisonnement inductif et déductif de l'individu. C'est l'éduction des relations et des corrélats. Il appelle éduction, la capacité à éduire des relations et des corrélats. L'éduction des relations, c'est essayer de trouver des relations entre les objets. L'éduction des corrélats, c'est trouver un objet à partir d'un autre, lorsque l'on connaît les relations qui les unit. [...]
[...] à L.T Variables observables Cela donne une conception de l'intelligence plus précise, mais il n'y a pas trop de fonctionnements théoriques. On ne sait rien sur les processus mentaux mis en jeu, dans la résolution de tâches simples ou complexes. Ces modèles ne prennent pas en compte la diversité des stratégies individuelles. [...]
[...] Le facteur d'intelligence fluide doit être interprète comme l'aptitude à percevoir et à éduire des relations. Les facteurs de premier ordres, qui lui sont associés sont : -Induction (trouver des règles dans un tout organisé) -Déduction (utiliser une démarche hypothético-déductive) -Raisonnement général (liaisons mathématiques) -Processus d'intégration (mémoire de travail) -Planification -Jugement (répondre malgré une ambiguïté) L'intelligence cristallisée n'est pas indépendante de Gf. On peut supposer qu'une même épreuve, peut être influencée par Gf et Gc. Les tests saturés avec l'intelligence cristallisée, sont des tests basés sur la connaissance spécifique, sur les connaissances antérieures ou stratégiques. [...]
[...] Ex: KAUFMAN assesment battery for children (K-ABC en 1983) III) LE MODELE EN FACETTES DE GUILFORD Selon GUILFORD, l'intelligence est une collection systématique d'aptitudes ou de fonctions, permettant le traitement de multitudes informations. La notion d'aptitude traduit le degrés de réussite d'un individu, lors de la réalisation d'une tâche. Il va essayer de faire un inventaire de ces aptitudes. Il en trouve 180. Il fait l'hypothèse que ces fonctions sont orthogonales, c'est à dire indépendantes les une des autres. Il va s'intéresser aux contenus informationnels. Il en distingue 5 : -Le visuel -L'auditif -Le symbolique -Le sémantique -Le comportemental Il va croiser ces contenus avec des produits type de réponses). [...]
[...] Il propose aussi 108 tests différents, pour mesurer l'intelligence. L'avantage de cette méthode, est la tentative de systématisation des tests. L'inconvénient est que cette méthode n'a pas de critères scientifiques ( = aucune vérification possible). IV) LES MODELES HIERARCHIQUES Certains auteurs ont montré qu'on pouvait utiliser la méthode factorielle, entre les aptitudes primaires et définir ainsi, des facteurs de second ordre. Ex: Utilisation des méthodes de rotation 6 variables corrélées entre elles x1,x2,x3 x4,x5,x6 Analyse de premier ordre Facteur 1 Facteur 2 x x x x x x Rotation orthogonale Facteur 1' Facteur 2' x x x x x x Rotation oblique Facteur 1'' Facteur 2'' x x x x x x Facteur 1 Facteur 1' Facteur 2' Facteur 1'' Facteur 2'' Facteur 2 Les modèles hiérarchiques vont se servir de cela, pour établir les facteurs de second ordre. [...]
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