Ce sont des actions à visée finalisées, c'est-à-dire dans la réalisation d'une tâche, orientées vers un but. Elles se regroupent en diverses catégories : compréhension, raisonnement, résolution de problèmes, évaluation, jugement, décision. Les activités mentales désignent la pensée au sens large ...
[...] Il y a un essai avec information, et plusieurs essais sans informations. Le sujet doit trouver quelle classe, quelle règle a été choisie. L'idée de Lévine est de manipuler la difficulté d'abord avec le nombre d'attributs possibles, et avec des règles unidimensionnelles ou multidimensionnelles, pour voir comment les sujets évoluent (essais sans informations) dans son test d'hypothèses. C'est donc un paradigme qui permet d'évaluer avec précision les mécanismes cognitifs en œuvre lorsqu'on engage un raisonnement inductif. Plusieurs cas de figures possibles : 1er cas : hypothèse est grand le stimulus est grand donc l'information donnée est oui, ce stimulus appartient à la classe ( Condition où l'hypothèse est compatible et positive. [...]
[...] Inversement pour les autres car ils ne voient pas la difficulté de la 1ère version. Condition de l'acquisition d'une connaissance nouvelle C'est une condition relative à l'axe particulier/général. Pour comprendre, il faut passer par des exemples. C'est donc une particularisation qui permet de construire un contenu abstrait. L'axe savoir/savoir-faire : autre dimension fondée sur le couple description/utilisation (connaissances déclaratives/connaissances procédurales). LES RAISONNEMENTS Les raisonnements formels Raisonner : produire des inférences. Les activités de raisonnement sont classées en deux critères : leur finalité (orientées vers la compréhension, le produit de l'inférence est externe) et leurs directions (l'inférence produit une conclusion plus générale que les informations générales ( généralisation ; ou des conclusions plus spécifiques ( particularisation). [...]
[...] Comment faire pour créer un collier rond fermé ? Apprentissage par l'instruction Va modifier les structures de connaissances, surtout le réseau sémantique des concepts et des schémas. Il est difficile de comprendre en l'absence de connaissances antérieures. Les connaissances en MLT sont un cadre assimilateur pour de nouvelles informations qui arrivent. Pour les schémas, l'assimilation se fait soit par enrichissement du schéma, soit par réajustement et affinement des schémas existants, mais sans modifier la structure. Egalement par restructuration et création de nouveaux schémas. [...]
[...] La résistance est mieux expliquée par le modèle de circulation. Le principe de voltage est plus expliqué par le modèle hydraulique. ( Chaque situation source présente des avantages et des inconvénients. Tout ceci amène à la résolution de problèmes par analogie. Dans la résolution de problèmes, on transfère un espace problème d'une situation source à une situation cible. Si le transfert est correct, les connaissances activées dans la situation source vont permettre de trouver la solution dans la situation cible. [...]
[...] Définition : la déduction est une inférence dont le but est d'aboutir, à partir d'une ou de plusieurs prémisses posées comme vraies, à une conclusion qui est sûrement vraie. C'est cette obligation de vérité qui différencie de l'induction. Une très grande partie d'inférences sont de nature déductive. La déduction doit suivre les règles de la logique formelle pour être valide. L'argument est dit valide si il n'est pas possible que la conclusion soit fausse, sachant que la ou les prémisses sont vraies. [...]
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