La manière de porter un regard sur l'enfant est fonction de toutes sortes de valeurs présentes dans la société. Ces valeurs s'accordent aux conceptions familiales, juridiques ? qui sont actives. Le contexte culturel induit une certaine façon de penser l'enfant, d'être parent, d'être adulte. On peut constater que les conduites éducatives reposent sur des postulats. Les recherches scientifiques sont influencées aussi par le contexte socioculturel. L'intérêt pour la petite enfance s'est développé ces dernières décennies. La petite enfance est objet de curiosité. Il y a de nouveaux débats sur la bioéthique. Les travaux de la petite enfance idéalise cette période de la vie : harmonie, bien être, tout doit être bien ...
[...] L'adulte qui se penche sur l'enfant, se penche aussi sur lui-même. L'enfant set devenu étranger à l'adulte. DARWIN, naturaliste, évolutionniste, va à travers ses observations, découvrir une méthode rationnelle d'éducation, pour donner un homme social nouveau. DARWIn et les auteurs de l'époque, font trois similitudes : -enfant et animal : dès la naissance, il existe une situation d'apprentissage intense. -enfant et le primitif : l'enfant et le prototype de l'adulte -enfant et le début de l'humanité : étude du développement de l'enfant qui traduit le développement de l'humanité. [...]
[...] Pour WATSON, seule l'obsession est scientifique. Il écarte de là, tut ce qui est de l'ordre des sentiments, impressions du sujet. Une de ses expériences porte sur un enfant normal bien développé, flegmatique et non émotif, de 8 mois. Il soumet à l'enfant une présentation de toutes sortes d'objets : un rat, un chien, un lapin, des masques, des journaux enflammés. L'enfant essaie juste d'attraper les objets, il n'a pas peur. Au cours de l'expérience, WATSON fait tomber une barre de fer, sans faire attention : l'enfant hurle de peur. [...]
[...] Il y a des moments dans la vie qui sont favorables à l'émergence, à la mise en place d'apprentissage, mais qu'avec l'interaction d'autres humains. Les interactions avec les autres, associées aux influences de la maturation, aux expériences individuelles, aux besoins innés, aux impulsions, aux désirs et aux sentiments conduisent à la formation stable, sous jacente des structures psychiques qui caractérisent une unique personnalité TISSON et TISSON. L'inné et l'acquis se conjuguent. Certaines fonctions cognitives, perceptives, motrices sont innées (pré adaptation de l'enfant). [...]
[...] La petite enfance est objet de curiosité. Il y a de nouveaux débats sur la bioéthique. Les travaux de la petite enfance idéalise cette période de la vie : harmonie, bien être, tout doit être bien. Il y a toujours eu la question de l'inné et de l'acquis à propos de l'enfant. Certains auteurs vont optés plus pour la théorie de l'inné, et d'autres, pour celle de l'acquis. -Pour l'inné : à la naissance, l'enfant dispose de schèmes, de supports pré- établis pour les processus développementaux. [...]
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