Le pédagogue que j'ai choisi de présenter est Don Bosco. Je l'ai tout d'abord pris car je voulais en savoir plus sur ce personnage dont j'avais déjà entendu parler dans des cours de religion mais dont la pédagogie m'était inconnue. Jean Bosco naquit le 16 août 1815 dans une petite ville en Italie, près de Turin. Son père mourut lorsqu'il avait 2 ans et sa mère dut élever seule les 3 enfants. Il travailla très tôt dans la ferme de sa mère et put aller au collège qu'il paya en travaillant. Il entra au séminaire à 20 ans et fut ordonné prêtre le 5 juin 1841. C'est un personnage très intéressant qui peut apporter beaucoup à la pédagogie car il a eut une enfance difficile et malgré ses problèmes, il vint en aide aux autres et surtout revalorisa le côté professionnel de l'enseignement (...)
[...] Pour qu'une bonne collaboration soit possible, il est nécessaire que ce dernier connaisse bien les jeunes qu'il a en face de lui. Ce jeune peut ainsi faire ce qui lui plaît le plus et exprimer librement ses pensées. Mais promouvoir la liberté ne signifie pas laisser faire. En effet, la collaboration entre le jeune et l'éducateur peut, à certains moments, être conflictuelle. La vrai liberté est apprentissage ; on ne naît pas libre, on le devient. La liberté ne signifie donc pas que le jeune peut faire tout ce qu'il veut et obtenir tout ce qu'il désire. [...]
[...] Conclusion En conclusion, toute l'attitude pédagogique de Don Bosco s'enracine dans la foi. Mais il s'agit ici d'un Dieu qui va respecter nos lenteurs, qui croit en nous, qui nous adopte comme un fils, qui nous libère. Il s'agira également de mettre en avant la réussite, la mémoriser et d'oublier l'échec. Ce point peut être mis en relation avec la volonté de mettre en place des évaluations formatives. En effet, ces dernières sont là pour aider l'élève à corriger les erreurs qu'il fait sans risquer de perdre des points ou de se ridiculiser. [...]
[...] L'Amorevolezza[3] est véritablement le principe méthodologique de cette éducation. Ce principe a plusieurs caractéristiques. Tout d'abord, il s'agit de se mettre au niveau des jeunes, à aimer les choses qui leur plaisent. En bref : à se plaire avec eux. Il s'agit également de développer une affection vraie et profonde, une affection exprimée, une affection inconditionnelle (elle persiste quoi qu'il arrive et l'éducateur doit éviter tout châtiment corporel), une affection évangélique (celle qu'il préconise doit être celle de Jésus-Christ qui va aider le jeune à acquérir sa véritable liberté) et enfin, une affection chaste (maîtrise de l'affectivité pour ne pas enfermer les jeunes dans son propre désir). [...]
[...] Pour la première, il faut porter un regard d'espérance sur l'enfant en devenir afin qu'il puisse se développer. Porter un regard d'espérance, c'est toujours prendre en compte son passé, son présent mais aussi son avenir. Dans l'éducation, on retrouve effectivement la transmission d'un héritage mais il ne faut pas oublier que cette transmission s'accompagne de l'éclosion du sujet. Le métier d'enseignant, c'est à la fois transmettre et faire éclore. Pour la valeur de compréhension, il est très important de comprendre les comportements comme la violence car les problèmes sont le signe d'une défaillance de l'accompagnement éducatif. [...]
[...] Introduction Le pédagogue que j'ai choisi de présenter est Don Bosco. Je l'ai tout d'abord pris car je voulais en savoir plus sur ce personnage dont j'avais déjà entendu parler dans des cours de religion mais dont la pédagogie m'était inconnue. Jean Bosco naquit le 16 août 1815 dans une petite ville en Italie, près de Turin. Son père mourut lorsqu'il avait 2 ans et sa mère dut élever seule les 3 enfants. Il travailla très tôt dans la ferme de sa mère et put aller au collège qu'il paya en travaillant. [...]
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