Nécessité de penser le lien social, psychologie, socialisation, lien social, déviance, culture, rapport entre le travail et le lien social, civilisation, doctrines religieuses
La nécessité signifie : qui ne peut pas ne pas être, ni être autrement. Donc déjà nous avons réfléchi à partir du fait qu'on ne peut pas ne pas penser le lien social en psychologie, il n'est pas une option.
Ensuite le lien social peut être défini comme le résultat de la constitution de relations d'entraide et de réciprocité aux fins de protection et de promotion mutuelle des individus qui s'y engagent. Marcel MAUSS écrit dans Essai sur le Don, 1925, que le lien social implique une triple obligation : donner, recevoir et rendre. Celui qui prend l'initiative de fonder l'échange, celui qui le reçoit, mais surtout c'est la troisième obligation qui fonde ou non le lien social, à savoir rendre. La rupture de l'échange équivaut donc à la rupture du lien social.
[...] Il a fallu mettre en avant le fait que cela constitue un certain soulagement pour la psyché individuelle. Par la suite Freud pause l'affirmation qu'une illusion n'est pas une erreur. Il donne des exemples de ce qui est pour lui une erreur et de ce qui est une illusion. Nous avons repris les exemples qu'il donnait dans son texte pour garder l'impact de celle-ci. Ensuite Freud explique que pour lui, les Doctrines Religieuses sont toutes des illusions indémontrables. Il y en a certaine qui sont tellement invraisemblables qu'on pourrait presque les qualifié de délirante. [...]
[...] Ce qu'explique ici par Freud. Nous avons également reprit l'idée que la religion a contribué à dompter et à canaliser la pulsion sociale que pendant de nombreux siècles elle à encadrer notre société. Il nous parle du faite que la religion a perdu de son influence. La science nous montre les défauts de la religion. Notre rapport avec celle-ci est donc différent d'autrefois. Dans la suite du texte, nous avons exposé l'idée que se serait Dieu qui aurait posé l'interdit de tuer. [...]
[...] Et comme nous l'avons vu avec le cas de Victor de l'Aveyron, il y a eu création d'un langage en parallèle de la création de la société qui a été nécessaire à son développement L'importance des Doctrines religieuses dans nos sociétés. Dans cette partie sur les doctrines religieuses, nous voulions montrer l'importance que Freud donne à ce passage. Le faite que pour lui, il y a une Croyance en une Providence Divine qui nous rassure et apaise nos angoisses devant les dangers de la vie quotidienne. Nous voulions montrer qu'il est question d'une chose qui nous attend après la mort. [...]
[...] Nous en avons déduit que cette séparation, synonyme ici de privation, engendre une frustration (par sa non satisfaction), qui est alors le noyau de l'hostilité contre la culture. Ces privations primaires sont l'inceste, le cannibalisme et le meurtre. Nous avons également vu que l'homme perd ses instincts de génération en génération. Mais il existe un problème entre les civilisations c'est à dire que l'une se croit meilleure que l'autre parce qu'elle est différente: Grâce à cette différence, chaque civilisation s'arroge le droit de mépriser l'autre». [...]
[...] Dans toutes sociétés il y a certaines idées, croyances et certaines valeurs qui dominent la vie sociale et culturelle. Ces idées dominantes sont produites pour l'essentiel par la classe dominante. Ce n'est donc, selon eux, pas un choix volontaire des hommes. Et enfin nous avons travaillé sur le rapport entre le travail et le lien social. Le travail permet l'apprentissage de la vie sociale et la constitution des identités, il nous apprend les contraintes de la vie avec les autres. [...]
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