La motivation au travail - publié le 11/07/2010

Résumé du document

De 1890 aux années 20 avec Taylor, Fayol ou encore Weber on voyait la motivation comme un enrichissement (la rémunération avec peur de sanction) avec la psychologie comportementaliste. A la fin des années 20 les employeurs commencent à se rendre compte que l'approche uniquement par la rémunération n'apporte pas les résultats attendus. Il y a une remise en question avec une redéfinition de l'idée de chef, de manager et de cadre. On travaille sur les conditions de travail pour augmenter la motivation (ce qui ne remet pas fondamentalement en cause le modèle taylorien).

Mayo travaille sur l'éclairage et la peinture des ateliers avec une approche appareillée (un groupe témoin et un groupe expérimental). Il constate que le fait qu'un individu sache qu'il est le sujet d'un centre d'intérêt de la direction va modifier son comportement et va favoriser sa productivité. Le salarié est sensible à la considération qu'on lui fait, c'est l'effet Hawthorne. La productivité, le comportement au travail est constitué par les relations entre les salariés, et le manager a un rôle clé.

Extraits

[...] INTRODUCTION Il faut d'abord rechercher dans mes premiers outils la définition du village. Le Larousse, dit : le village est une agglomération dans laquelle les habitants vivent essentiellement du travail de la terre. Cela reste vague, surtout pour le moyen-Age. Il faut faire appel aux définitions des ethnologues et anthropologues. Pour eux cinq éléments doivent-être réunis : il faut un plan cohérent du bâti, une certaine stabilité (habitat de sédentaires), le village est le centre d'une communauté rurale dans le sens où il doit comporter une personnalité juridique, disposer d'un cimetière (habitat des morts), et donc disposer d'un lieu de culte. [...]

[...] Il y a trois étapes à la fouille : Il faut réaliser le plan du site, ce qui nécessite du matériel, un Théodolyte et un niveau (géomètre), pour la réalisation d'une carte topographique, préalable au Carroyage, ou au maillage. Les personnes doivent fouiller à la même vitesse. Le carroyage sert également au dessin de la surface fouillée. Chaque carré va recevoir une identité, un chiffre ou une lettre méthodes, de Wheeler et Harris/Steenberg : à rechercher. Il est difficile d'enregistrer les objets. Le meilleur système est celui qui repose sur la notion U.S, Unité Stratigraphique. [...]

[...] Avec la montée des eaux, les habitants ont dû se déplacer vers le site de Paladru, abandonnant définitivement l'ancien site. Les archéologues ont sondé les fonds du lac. Les objets retirés du fond, après plusieurs bains de conservation, ont observé des restes de torchis et de chaume. Les archéologues ont voulu vérifier ensuite s'il y avait une matérialisation de ces habitats. Ils ont trouvé des gros pieux enfoncés dans la craie. Ensuite ils ont trouvé des palissades en bois autour de l'habitat. [...]

[...] Les fouilles de Colletière C'est une fouille de sauvetage, face à la montée des eaux du lac. En 1972, les premières fouilles débutent. La fouille a mis à jour un ensemble de 5 habitations. A l'époque ces habitations étaient au bord du lac sur une plage de craie. La craie durcit au contact de l'eau et a servi de plâtre qui a permis de conservé les restes. Les archéologues ont essayé de donner une date à ces habitations. Ils ont mis en place trois types de datation : - Analyse du Carbonne 14, analyse du bois. [...]

[...] Cependant aucun lieu de culte, ni lieu d'inhumation et peu de matériel céramique furent retrouvés. Peut-être s'agissait-il de site temporaire pour la transhumance Un deuxième site, près de Bonn à Gladbarch, fut trouvé avant la seconde guerre mondiale. Il daterait du VIIE/VIIIe siècle. On a retrouvé des fonds de cabanes entre 4m et 12.5 m ; il y en avait 57. Après la guerre, et pendant la guerre froide, en 1969, Mr Sage, reprend la fouille et distingue deux types d'habitations. D'abord des habitations puis des fonds de cabanes à vocations artisanales. [...]