Les interactions sociales peuvent être définies comme un ensemble d'influences réciproques qui résultent de l'activité des divers membres.
Goffman (sociologue : la mise en scène de la vie quotidienne) montre que les interactions sociales mettent en jeu des codes, des rites : elles sont soumises à un code social, normatif, qui assure la régulation des échanges et qui permet l'institutionnalisation. Tout processus de communication met en jeu le corps qui prend alors valeur de signifiant différencié (...)
[...] La sociométrie permet de mesurer les relations à l'intérieur d'un groupe Etapes du développement affectif Un groupe est assimilé à une personne qui se construit progressivement et qui acquiert une maturité. Cette construction est lente et demande une certaine stabilité. Il y a 5 étapes vers la maturité : - sécurité ou construction progressive : les individus acceptent d'être dans un groupe - construction à la confiance réciproque : le conflit est possible : acceptation des différences - illusion groupale ou détente : le groupe est dans une sorte de fusion - organisation et structuration : question du pouvoir (qui dirige - autogestion, autorégulation : c'est un rite. [...]
[...] Au début de son émission, il y a une incertitude de la réception du message (le feedback a une fonction de réduction des incertitudes). Concept de redondance : répétition d'un message pour combler des manques de feedback. La redondance est aussi un piège : soporifique, abaisse la vigilance Modèle 3 La psycholinguistique : derrière un code, il y a un référant (interrogation sur le message). C'est à quoi on réfère le mot (rapport signifiant / signifié = image acoustique / sens). Les mal-entendus sont des dialogues de sourds. [...]
[...] Là, ces interactions sociales se trouvent à constater les processus d'influences mutuels sans leur donner de fondement psychologique. Les interactions sociales sont aussi des relations interpersonnelles entre 2 individus au moins par lesquelles les comportements des sujets sont soumis à une influence réciproque. Les interactions sociales posent les questions de la place du sujet dans le groupe (leader au centre), des processus mis en œuvre, des mécanismes mis en jeu : la communication Le groupe 1 Définitions Si un groupe apparaît comme une forme de rassemblement relativement constant au sein d'une société, il est nécessaire au sujet mais peut être aussi un problème (sentiment de dépendance à autrui, indifférenciation, échange). [...]
[...] On voit la résistance des académiciens décadents à faire rentrer des nouveaux mots dans le dictionnaire. Communiquer : c'est aussi s'exprimer : ce n'est pas seulement échanger des connaissances, des savoirs, des informations : on échange aussi de l'affectif, de l'émotionnel. On voit combien le corps participe à la communication (langage corporel, non-verbal). Parler est un comportement observable qui s'inscrit dans une relation à autrui. C'est aussi un moyen d'action, un moyen d'influence sur l'autre et peut être assimilé comme une véritable prise de pouvoir ; mais ça peut être aussi se taire. [...]
[...] Le groupement : il est relatif à des réunions, quel que soit le nombre d'individus, dont la fréquence et les objectifs sont bien déterminés. Les buts du groupement sont liés aux intérêts communs des membres. Ils sont organisés autour de représentants qui défendent les intérêts du groupement. Le groupe primaire ou restreint : il est composé par un nombre restreint d'individus qui peuvent avoir chacun une perception individualisée de l'autre. Ces personnes ont des intérêts communs et les relations affectives sont importantes entre les individus. [...]
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